
Dominotés français. Papiers dominotés français ou L'art de revêtir d'éphémères couvertures colorées. Livres & brochures entre 1750 et 1820.
Éditions des CendresN° d'inventaire | 33265 |
Format | 250 x 250 |
Détails | 408 p., 250 ill. couleurs, trage limité à 999 exemplaires, cartonnage éditeur |
Publication | Paris, 2012 |
Etat | neuf |
ISBN | 9782867422072 |
Prolongement de l'ouvrage d'André Jammes (Papiers dominotés, 2010), ce volume rassemble plus de 200 nouveaux dominos produits à Aix, Arras, Rouen, Avignon, Paris, Chartres, Le Mans... venant augmenter notre connaissance d'un univers libre et joyeux dont l'inventaire général est la prochaine étape...
André Jammes, extrait de l’avant-propos
« La fantaisie des papiers dominotés ne cesse de surprendre et réjouir. De nouvelles découvertes nous ont amené à poursuivre le travail pionnier d’André Jammes. Les motifs, à la fois simples, et complexes – du fait de leur évidence même –, portés avec savoir-faire, art, mais aussi maladresse ne manquent pas de nous émouvoir. Assujetties à un registre d’éléments décoratifs qui semble arrêté (le trait, la ligne, le point, le carré, le triangle, le croisillon, les fleurs, les feuilles, les fruits…), un format « stabilisé » […], une palette de couleurs limitée […], les propositions n’en semblent pas moins innombrables, comme illimitées. Le jeu répété sur un même motif est à sa manière fort moderne, et si certaines compositions peuvent paraître attendues, d’autres, enlevées, sont délibérément engagées dans une recherche de « nouveauté », d’expérimentation, ainsi certains monochromes réalisés avec une extrême économie de moyens. »
Marc Kopylov, extrait de la préface
Prolongement de l'ouvrage d'André Jammes (Papiers dominotés, 2010), ce volume rassemble plus de 200 nouveaux dominos produits à Aix, Arras, Rouen, Avignon, Paris, Chartres, Le Mans... venant augmenter notre connaissance d'un univers libre et joyeux dont l'inventaire général est la prochaine étape...
André Jammes, extrait de l’avant-propos
« La fantaisie des papiers dominotés ne cesse de surprendre et réjouir. De nouvelles découvertes nous ont amené à poursuivre le travail pionnier d’André Jammes. Les motifs, à la fois simples, et complexes – du fait de leur évidence même –, portés avec savoir-faire, art, mais aussi maladresse ne manquent pas de nous émouvoir. Assujetties à un registre d’éléments décoratifs qui semble arrêté (le trait, la ligne, le point, le carré, le triangle, le croisillon, les fleurs, les feuilles, les fruits…), un format « stabilisé » […], une palette de couleurs limitée […], les propositions n’en semblent pas moins innombrables, comme illimitées. Le jeu répété sur un même motif est à sa manière fort moderne, et si certaines compositions peuvent paraître attendues, d’autres, enlevées, sont délibérément engagées dans une recherche de « nouveauté », d’expérimentation, ainsi certains monochromes réalisés avec une extrême économie de moyens. »
Marc Kopylov, extrait de la préface