Zinoview Cendrars. Deux légionnaires dans la Grande guerre. Regards croisés d'un peintre et d'un écrivain.
SomogyN° d'inventaire | 21390 |
Format | 24,7 x 28,7 |
Détails | 128 p., 100 illustrations, relié. |
Publication | Paris, 2018 |
Etat | Neuf |
ISBN | |
Le 29 juillet 1914, Blaise Cendrars, poète d'origine suisse, rédige un appel qui paraît dans les journaux de Paris, sommant tous les étrangers amis de la France de s'engager pour la durée de la guerre. Le 24 août, Alexandre Zinoview, artiste-peintre russe, installé en France depuis 1909, se porte volontaire. Intégrés tous deux dans la Légion étrangère, leurs expériences concordent et en octobre 1915, sur le front de Champagne, leurs destins se croisent à la férme de Navarin où Cendrars est blessé. Ces deux combattants deviennent témoins. Zinoview peint sur le front, quant à Cendrars les souvenirs de cette guerre hanteront ses écrits. Le dialogue entre leurs oeuvres constitue la trame de cet ouvrage, édité à l'occasion d'une exposition du musée de la Légion étrangère à Aubagne. Par leurs regards croisés, c'est avant tout aux camarades de la Légion, à cet exceptionnel élan d'étrangers engagés volontaires au cours de la Grande Guerre, qu'Alexandre Zinoview et Blaise Cendrars rendent un émouvant hommage.
Le 29 juillet 1914, Blaise Cendrars, poète d'origine suisse, rédige un appel qui paraît dans les journaux de Paris, sommant tous les étrangers amis de la France de s'engager pour la durée de la guerre. Le 24 août, Alexandre Zinoview, artiste-peintre russe, installé en France depuis 1909, se porte volontaire. Intégrés tous deux dans la Légion étrangère, leurs expériences concordent et en octobre 1915, sur le front de Champagne, leurs destins se croisent à la férme de Navarin où Cendrars est blessé. Ces deux combattants deviennent témoins. Zinoview peint sur le front, quant à Cendrars les souvenirs de cette guerre hanteront ses écrits. Le dialogue entre leurs oeuvres constitue la trame de cet ouvrage, édité à l'occasion d'une exposition du musée de la Légion étrangère à Aubagne. Par leurs regards croisés, c'est avant tout aux camarades de la Légion, à cet exceptionnel élan d'étrangers engagés volontaires au cours de la Grande Guerre, qu'Alexandre Zinoview et Blaise Cendrars rendent un émouvant hommage.