Zao Wou-ki. "Il ne fait jamais nuit".
DE VILLEPIN Dominique, VERHAGEN Erik, HENDGEN Yann.

Zao Wou-ki. "Il ne fait jamais nuit".

In Fine
Prix régulier €29,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 25987
Format 24 x 28
Détails 176 p., nombreuses illustrations couleur, cartonnage éditeur.
Publication Paris, 2021
Etat Neuf
ISBN 9782382030394

Parcourant l’ensemble de l’œuvre de Zao Wou-Ki (1920-2013), cet ouvrage met au jour une des grandes obsessions de l’artiste : inventer de nouveaux espaces picturaux construits à partir de son travail sur la couleur et la représentation de la lumière.
Et sans jamais se départir, jusqu’à la fin de sa vie, des leçons que lui a enseignées la peinture de Paul Cézanne.
Évoquant le temps passé à l’École des beaux-arts de Hangzhou au bord du lac de l’Ouest, Zao Wou-Ki écrit : « j’étais fasciné par la multiplicité de l’espace à la surface de l’eau, la légèreté de la lumière ou son épaisseur entre le lac et le ciel.
[…] Ce que je cherchais à voir c’était l’espace, ses étirements et ses contorsions, et l’infinie complexité d’un bleu dans le minuscule reflet d’une feuille sur l’eau. Je me posais toujours les mêmes questions : comment représenter le vent ? Comment peindre le vide ? Et la lumière, sa clarté, sa pureté ? »

Parcourant l’ensemble de l’œuvre de Zao Wou-Ki (1920-2013), cet ouvrage met au jour une des grandes obsessions de l’artiste : inventer de nouveaux espaces picturaux construits à partir de son travail sur la couleur et la représentation de la lumière.
Et sans jamais se départir, jusqu’à la fin de sa vie, des leçons que lui a enseignées la peinture de Paul Cézanne.
Évoquant le temps passé à l’École des beaux-arts de Hangzhou au bord du lac de l’Ouest, Zao Wou-Ki écrit : « j’étais fasciné par la multiplicité de l’espace à la surface de l’eau, la légèreté de la lumière ou son épaisseur entre le lac et le ciel.
[…] Ce que je cherchais à voir c’était l’espace, ses étirements et ses contorsions, et l’infinie complexité d’un bleu dans le minuscule reflet d’une feuille sur l’eau. Je me posais toujours les mêmes questions : comment représenter le vent ? Comment peindre le vide ? Et la lumière, sa clarté, sa pureté ? »