JUDE Elisabeth, Hélène et Patrick.
Voyage d'un peintre breton au Japon : Mathurin Méheut, avril-août 1914.
Editions Ouest france
Prix régulier
€32,00
N° d'inventaire | 30468 |
Format | 24 X 30,5 |
Détails | 124 p., ill. en N/B et en couleur, relié sous jaquette. |
Publication | Rennes, 2004 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782737335648 |
Au début du XXe siècle, Mathurin Méheut travaillait à
Paris où régnaient japonisme et Art nouveau. Il fournissait des études de faune et de flore correspondant aux efforts d'interprétation décorative d'Eugène Grasset.
Le triomphe de son exposition au musée des Arts décoratifs a été suivi par l'attribution de la bourse " Autour du Monde " financée par le mécène Albert Kahn. L'artiste débarque au Japon en avril 1914, dessine et peint sans relâche. Il est aidé par le grand industriel
Katsutarô Inabata et par le peintre Takeshirô Kanokogui. Méheut quitte le Japon dès la proclamation de la mobilisation générale. L'influence de son séjour au Japon sur son œuvre se fait sentir jusqu'à sa mort en 1958. Deux des auteurs arrière-petites-filles de Mathurin Méheut, se sont rendus au Japon sur les traces de leur aïeul afin d'identifier avec précision et voir les lieux où l'artiste avait travaillé et fait œuvre d'ethnographe en ce début de l'époque Taishô. A la recherche du Japon de 1914, ils ont retrouvé les descendants de Inabata et Kanokogui, photographié et rédigé un carnet de route pendant leur périple dans le Japon d'aujourd'hui.
Paris où régnaient japonisme et Art nouveau. Il fournissait des études de faune et de flore correspondant aux efforts d'interprétation décorative d'Eugène Grasset.
Le triomphe de son exposition au musée des Arts décoratifs a été suivi par l'attribution de la bourse " Autour du Monde " financée par le mécène Albert Kahn. L'artiste débarque au Japon en avril 1914, dessine et peint sans relâche. Il est aidé par le grand industriel
Katsutarô Inabata et par le peintre Takeshirô Kanokogui. Méheut quitte le Japon dès la proclamation de la mobilisation générale. L'influence de son séjour au Japon sur son œuvre se fait sentir jusqu'à sa mort en 1958. Deux des auteurs arrière-petites-filles de Mathurin Méheut, se sont rendus au Japon sur les traces de leur aïeul afin d'identifier avec précision et voir les lieux où l'artiste avait travaillé et fait œuvre d'ethnographe en ce début de l'époque Taishô. A la recherche du Japon de 1914, ils ont retrouvé les descendants de Inabata et Kanokogui, photographié et rédigé un carnet de route pendant leur périple dans le Japon d'aujourd'hui.
Paris où régnaient japonisme et Art nouveau. Il fournissait des études de faune et de flore correspondant aux efforts d'interprétation décorative d'Eugène Grasset.
Le triomphe de son exposition au musée des Arts décoratifs a été suivi par l'attribution de la bourse " Autour du Monde " financée par le mécène Albert Kahn. L'artiste débarque au Japon en avril 1914, dessine et peint sans relâche. Il est aidé par le grand industriel
Katsutarô Inabata et par le peintre Takeshirô Kanokogui. Méheut quitte le Japon dès la proclamation de la mobilisation générale. L'influence de son séjour au Japon sur son œuvre se fait sentir jusqu'à sa mort en 1958. Deux des auteurs arrière-petites-filles de Mathurin Méheut, se sont rendus au Japon sur les traces de leur aïeul afin d'identifier avec précision et voir les lieux où l'artiste avait travaillé et fait œuvre d'ethnographe en ce début de l'époque Taishô. A la recherche du Japon de 1914, ils ont retrouvé les descendants de Inabata et Kanokogui, photographié et rédigé un carnet de route pendant leur périple dans le Japon d'aujourd'hui.