Vittore Carpaccio, peindre l'ennui à Venise.
Espaces & signesN° d'inventaire | 26918 |
Format | 13,5 x 18,5 |
Détails | 118 p., quelques illustrations couleur, broché. |
Publication | Paris, 2020 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9791094176467 |
Qui sont ces deux Vénitiennes et que font-elles sur cette terrasse ?
On sait que ce panneau, peint par Vittore Carpaccio au 15e siècle, exposé au musée Correr de Venise, a été considéré comme « le plus beau tableau du monde ». On sait aussi que cette peinture n’est, en fait, que l’un des morceaux d’une composition beaucoup plus grande, dont on a retrouvé au 20e siècle l’une des autres parties… en Californie ! Mais ce tableau reste malgré tout un grand mystère.
L’auteur imagine ce que pouvait être cette œuvre dans son ensemble. Il en propose un « décodage » qui conduit à une interprétation séduisante et troublante, donnant à la femme un rôle inattendu dans notre monde, et trouve à celle-ci des échos dans deux tableaux plus récents – de Gustave Caillebotte et d’Edward Hopper.
Qui sont ces deux Vénitiennes et que font-elles sur cette terrasse ?
On sait que ce panneau, peint par Vittore Carpaccio au 15e siècle, exposé au musée Correr de Venise, a été considéré comme « le plus beau tableau du monde ». On sait aussi que cette peinture n’est, en fait, que l’un des morceaux d’une composition beaucoup plus grande, dont on a retrouvé au 20e siècle l’une des autres parties… en Californie ! Mais ce tableau reste malgré tout un grand mystère.
L’auteur imagine ce que pouvait être cette œuvre dans son ensemble. Il en propose un « décodage » qui conduit à une interprétation séduisante et troublante, donnant à la femme un rôle inattendu dans notre monde, et trouve à celle-ci des échos dans deux tableaux plus récents – de Gustave Caillebotte et d’Edward Hopper.