Vieux, un Grec ne peut l'être.
Les Belles LettresN° d'inventaire | 30005 |
Format | 14 X 21 |
Détails | 376 p., broché. |
Publication | Paris, 2023 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782251454511 |
« Vieux, un Grec ne peut pas l’être » proclame Platon dans le Timée. Que pouvait bien entendre par là le philosophe grec du IVe siècle avant notre ère ? Plus généralement, comment la société antique pensait-elle le vieillissement ?
En particulier, comment les médecins ont-ils essayé d’expliquer ce phénomène et même d’y remédier ? Le vieillissement résultait-il d’une maladie et à ce titre était-il susceptible d’être ralenti, voire aboli, ou au contraire relevait-il d’un processus aussi naturel qu’inéluctable ? Quelle importance Grecs et Romains accordaient-ils à l’environnement, au milieu social, à l’activité professionnelle et à l’hygiène de vie ? Hommes et femmes étaient-ils égaux face à la vieillesse ?
Telles sont, bien avant les mirages alimentés par un transhumanisme triomphant, les principales questions abordées ici en dix courts chapitres suivis de la première traduction française du livre V du traité Sur la santé composé au IIe siècle de notre ère par le plus grand médecin de son temps, Galien de Pergame.
« Vieux, un Grec ne peut pas l’être » proclame Platon dans le Timée. Que pouvait bien entendre par là le philosophe grec du IVe siècle avant notre ère ? Plus généralement, comment la société antique pensait-elle le vieillissement ?
En particulier, comment les médecins ont-ils essayé d’expliquer ce phénomène et même d’y remédier ? Le vieillissement résultait-il d’une maladie et à ce titre était-il susceptible d’être ralenti, voire aboli, ou au contraire relevait-il d’un processus aussi naturel qu’inéluctable ? Quelle importance Grecs et Romains accordaient-ils à l’environnement, au milieu social, à l’activité professionnelle et à l’hygiène de vie ? Hommes et femmes étaient-ils égaux face à la vieillesse ?
Telles sont, bien avant les mirages alimentés par un transhumanisme triomphant, les principales questions abordées ici en dix courts chapitres suivis de la première traduction française du livre V du traité Sur la santé composé au IIe siècle de notre ère par le plus grand médecin de son temps, Galien de Pergame.