Vera Molnár.
Collectif.

Vera Molnár.

B. Chauveau
Prix régulier €55,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 30859
Format 22 X 28
Détails 250 p., illustrations, cartonnage éditeur.
Publication Paris, 2024
Etat Neuf
ISBN 9782363063359

 Un panorama des œuvres de l'artiste française d'origine hongroise, de ses premiers travaux datant de la fin des années 1940 à ses dernières réalisations, dont les vitraux de l'abbaye de Lérins.

exposition du 28 févr. 2024 au 26 août 2024 au Centre Pompidou

Disparue le 7 décembre 2023 à l'âge de 99 ans, Vera Molnár (née en 1924 à Budapest et installée à Paris depuis 1947) était une pionnière de l'art numérique.

Élaborées autour de 1947 dans un état d'esprit constructiviste, ses oeuvres, en s'enrichissant de connaissances sur la psychologie de la forme et des lois de la vision, deviennent des questionnements plastiques de l'optique. Cybernéticienne puis informaticienne, Molnár met en place dans les années 1960 un mode de production qu'elle nomme « machine imaginaire » avant d'être la première artiste en France (1968) à produire des dessins numériques en utilisant un ordinateur relié à une table traçante. Jusqu'au mitan des années 90, elle se livre à une exploration systématique de familles formelles dont elle met en scène les mutations privilégiant le plus souvent la reprise et la sérialité.

 Un panorama des œuvres de l'artiste française d'origine hongroise, de ses premiers travaux datant de la fin des années 1940 à ses dernières réalisations, dont les vitraux de l'abbaye de Lérins.

exposition du 28 févr. 2024 au 26 août 2024 au Centre Pompidou

Disparue le 7 décembre 2023 à l'âge de 99 ans, Vera Molnár (née en 1924 à Budapest et installée à Paris depuis 1947) était une pionnière de l'art numérique.

Élaborées autour de 1947 dans un état d'esprit constructiviste, ses oeuvres, en s'enrichissant de connaissances sur la psychologie de la forme et des lois de la vision, deviennent des questionnements plastiques de l'optique. Cybernéticienne puis informaticienne, Molnár met en place dans les années 1960 un mode de production qu'elle nomme « machine imaginaire » avant d'être la première artiste en France (1968) à produire des dessins numériques en utilisant un ordinateur relié à une table traçante. Jusqu'au mitan des années 90, elle se livre à une exploration systématique de familles formelles dont elle met en scène les mutations privilégiant le plus souvent la reprise et la sérialité.