
Tous Léger ! Avec Niki de Saint Phalle, Yves Klein, Martial Raysse, Keith Haring ...
Grand palais Rmn ÉditionsN° d'inventaire | 32157 |
Format | 30 X 25 |
Détails | 200p., broché |
Publication | Paris, 2025 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782711881109 |
Ce catalogue édité à l'occasion de l'exposition "Tous Léger ! : avec Niki de Saint Phalle, Yves Klein, Martial Raysse, Keith Haring... "à Paris au musée du Luxembourg du 19 mars au 20 juillet 2025.
En partenariat avec le Musée national Fernand Léger (Biot), le MAMAC et la Ville de Nice.
Fasciné par le progrès, la vitesse, les lumières et les slogans publicitaires scandant l'espace urbain, Fernand Léger (1881-1955) participe à la révolution moderniste en cadrant le réel dans ses formes les plus prosaïques. À travers cette exposition et le catalogue qui l'accompagne, un dialogue esthétique, thématique et formel émerge entre ses œuvres et celles des artistes affiliés au Nouveau Réalisme. Fervent admirateur de l'œuvre de Léger, avec lequel il partage un rejet du
réalisme socialiste, le critique d'art Pierre Restany aurait baptisé ce mouvement en hommage au peintre, qui a utilisé cette formule à plusieurs reprises dans ses écrits théoriques.
Ce catalogue édité à l'occasion de l'exposition "Tous Léger ! : avec Niki de Saint Phalle, Yves Klein, Martial Raysse, Keith Haring... "à Paris au musée du Luxembourg du 19 mars au 20 juillet 2025.
En partenariat avec le Musée national Fernand Léger (Biot), le MAMAC et la Ville de Nice.
Fasciné par le progrès, la vitesse, les lumières et les slogans publicitaires scandant l'espace urbain, Fernand Léger (1881-1955) participe à la révolution moderniste en cadrant le réel dans ses formes les plus prosaïques. À travers cette exposition et le catalogue qui l'accompagne, un dialogue esthétique, thématique et formel émerge entre ses œuvres et celles des artistes affiliés au Nouveau Réalisme. Fervent admirateur de l'œuvre de Léger, avec lequel il partage un rejet du
réalisme socialiste, le critique d'art Pierre Restany aurait baptisé ce mouvement en hommage au peintre, qui a utilisé cette formule à plusieurs reprises dans ses écrits théoriques.