Tarsila do Amaral.
Grand Palais Rmn/ Musée du LuxembourgN° d'inventaire | 31260 |
Format | 24,5 x 29 |
Détails | 208 p., 160 ill., relié |
Publication | Paris, 2024 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782711880218 |
catalogue d'exposition. Exposition au Musée du Luxembourg du 9 octobre 2024 au 2 février 2025
« Je me sens de plus en plus brésilienne. Je veux être la peintre de mon pays. »
(Tarsila do Amaral, 1923)
Figure centrale de l'art brésilien et du renouveau artistique et culturel du début du XXe siècle connu comme « modernismo », Tarsila do Amaral (1886-1973) est sans conteste l'une des artistes les plus populaires au Brésil.
Tarsila s'installe à Paris en 1920 et forge son style auprès de Fernand Léger, Albert Gleizes et André Lhote. Au croisement de deux cultures et de deux continents, son œuvre creuse des questions sociales et raciales, nous livrant un imaginaire indigéniste tel qu'il est intériorisé, rêvé voire idéalisé et des paysages dont les évocations telluriques et archaïques sont télescopées par le visage moderne des métropoles sud-américaines en profonde et rapide transformation.
Sa peinture invite à repenser les clivages entre traditions et avant-gardes, centres et périphéries, cultures savantes et populaires tout en questionnant des notions d'une extrême actualité, comme indigénisme, héritages culturels et colonialisme. Toutes ces références sont observées et traduites dans un vocabulaire pictural original, accessible et moderne.
Outre sa production des années 1920 liée aux mouvements « moderniste », « Pau Brasil » et « anthropophagique », ce catalogue donne à voir son œuvre des années 1930 à 1960 et permet d'approfondir la dimension à la fois politique, militante et spirituelle de l'artiste, parfaitement ancrée dans la culture brésilienne de son époque et toujours réceptive et perméable aux instances actuelles des arts occidentaux.
Exposition au Musée du Luxembourg du 9 octobre 2024 au 2 février 2025
catalogue d'exposition. Exposition au Musée du Luxembourg du 9 octobre 2024 au 2 février 2025
« Je me sens de plus en plus brésilienne. Je veux être la peintre de mon pays. »
(Tarsila do Amaral, 1923)
Figure centrale de l'art brésilien et du renouveau artistique et culturel du début du XXe siècle connu comme « modernismo », Tarsila do Amaral (1886-1973) est sans conteste l'une des artistes les plus populaires au Brésil.
Tarsila s'installe à Paris en 1920 et forge son style auprès de Fernand Léger, Albert Gleizes et André Lhote. Au croisement de deux cultures et de deux continents, son œuvre creuse des questions sociales et raciales, nous livrant un imaginaire indigéniste tel qu'il est intériorisé, rêvé voire idéalisé et des paysages dont les évocations telluriques et archaïques sont télescopées par le visage moderne des métropoles sud-américaines en profonde et rapide transformation.
Sa peinture invite à repenser les clivages entre traditions et avant-gardes, centres et périphéries, cultures savantes et populaires tout en questionnant des notions d'une extrême actualité, comme indigénisme, héritages culturels et colonialisme. Toutes ces références sont observées et traduites dans un vocabulaire pictural original, accessible et moderne.
Outre sa production des années 1920 liée aux mouvements « moderniste », « Pau Brasil » et « anthropophagique », ce catalogue donne à voir son œuvre des années 1930 à 1960 et permet d'approfondir la dimension à la fois politique, militante et spirituelle de l'artiste, parfaitement ancrée dans la culture brésilienne de son époque et toujours réceptive et perméable aux instances actuelles des arts occidentaux.
Exposition au Musée du Luxembourg du 9 octobre 2024 au 2 février 2025