Musée Guimet
Tadjikistan. Au pays des fleuves d'or.
Snoeck
Prix régulier
€39,00
N° d'inventaire | 25080 |
Format | 23 x 29 |
Détails | 287 p., cartonnage éditeur. |
Publication | Paris, 2021 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9789461616272 |
Par sa situation stratégique sur les voies de passage et de conquête entre Moyen-Orient, ancien monde des steppes, sous-continent indien et oasis de l'Asie centrale chinoise, le Tadjikistan est au coeur des réseaux d'échanges depuis la plus haute antiquité. La richesse de ses ressources naturelles, notamment minérales (au nombre desquelles le rubis et le lapis-lazuli) expliquent sans doute l'importance des foyers culturels qui s'y sont développés.
Organisée en grandes périodes chronologiques, de la préhistoire à l'arrivée de l'islam, l'exposition s'attache à montrer cette richesse culturelle en prenant appui sur les vestiges de différents sites archéologiques du pays.
Elle bénéficie pour cela d'importants prêts des musées du Tadjikistan (musée d'archéologie, musée national, musées de sites), du British Museum et de la Bibliothèque nationale de France, que viendront accompagner des pièces issues des collections du musée national des arts asiatiques - Guimet.
Les vestiges préhistoriques, notamment ceux du site de Sarazm, nous rappellent que le Tadjikistan fut un pôle d'échanges dès la préhistoire, ainsi qu'un important centre de métallurgie dès la fin du IVe millénaire av. J.-C.
Les apports des peuples des steppes puis des Achéménides seront suivis, dans les premiers siècles qui précèdent l'ère chrétienne, par la présence de populations hellénisées, ainsi que l'illustrent plusieurs ensembles de monnaies d'or, d'argent et de bronze, tout comme un grand nombre de vestiges du temple de l'Oxus à Takht-i Sangin.
Les vestiges monumentaux de Pendjikent, Kukh-i Surkh ou Bundjika témoignent pour leur part de la prospérité de la région de la Sogdiane aux VIe-VIIIe siècles, à l'époque où les Sogdiens, commerçants de l'Asie établis jusqu'en Chine et en Asie du Sud-Est, adeptes du mazdéisme, du zoroastrisme, et du manichéisme, sont aussi ouverts aux influences extérieures.
Dans un même temps, les sites d'Adjina tepa et de Hisht tepa nous montrent l'implantation du bouddhisme dans l'est du pays, par les moines cheminant le long des routes commerciales.
L'exposition se termine avec l'établissement de la dynastie des Samanides et l'introduction de l'islam dans la région, ainsi que l'illustrent les vestiges des sites d'Hulbuk ou de Sayod, ainsi que d'importants trésors monétaires.
Organisée en grandes périodes chronologiques, de la préhistoire à l'arrivée de l'islam, l'exposition s'attache à montrer cette richesse culturelle en prenant appui sur les vestiges de différents sites archéologiques du pays.
Elle bénéficie pour cela d'importants prêts des musées du Tadjikistan (musée d'archéologie, musée national, musées de sites), du British Museum et de la Bibliothèque nationale de France, que viendront accompagner des pièces issues des collections du musée national des arts asiatiques - Guimet.
Les vestiges préhistoriques, notamment ceux du site de Sarazm, nous rappellent que le Tadjikistan fut un pôle d'échanges dès la préhistoire, ainsi qu'un important centre de métallurgie dès la fin du IVe millénaire av. J.-C.
Les apports des peuples des steppes puis des Achéménides seront suivis, dans les premiers siècles qui précèdent l'ère chrétienne, par la présence de populations hellénisées, ainsi que l'illustrent plusieurs ensembles de monnaies d'or, d'argent et de bronze, tout comme un grand nombre de vestiges du temple de l'Oxus à Takht-i Sangin.
Les vestiges monumentaux de Pendjikent, Kukh-i Surkh ou Bundjika témoignent pour leur part de la prospérité de la région de la Sogdiane aux VIe-VIIIe siècles, à l'époque où les Sogdiens, commerçants de l'Asie établis jusqu'en Chine et en Asie du Sud-Est, adeptes du mazdéisme, du zoroastrisme, et du manichéisme, sont aussi ouverts aux influences extérieures.
Dans un même temps, les sites d'Adjina tepa et de Hisht tepa nous montrent l'implantation du bouddhisme dans l'est du pays, par les moines cheminant le long des routes commerciales.
L'exposition se termine avec l'établissement de la dynastie des Samanides et l'introduction de l'islam dans la région, ainsi que l'illustrent les vestiges des sites d'Hulbuk ou de Sayod, ainsi que d'importants trésors monétaires.
Organisée en grandes périodes chronologiques, de la préhistoire à l'arrivée de l'islam, l'exposition s'attache à montrer cette richesse culturelle en prenant appui sur les vestiges de différents sites archéologiques du pays.
Elle bénéficie pour cela d'importants prêts des musées du Tadjikistan (musée d'archéologie, musée national, musées de sites), du British Museum et de la Bibliothèque nationale de France, que viendront accompagner des pièces issues des collections du musée national des arts asiatiques - Guimet.
Les vestiges préhistoriques, notamment ceux du site de Sarazm, nous rappellent que le Tadjikistan fut un pôle d'échanges dès la préhistoire, ainsi qu'un important centre de métallurgie dès la fin du IVe millénaire av. J.-C.
Les apports des peuples des steppes puis des Achéménides seront suivis, dans les premiers siècles qui précèdent l'ère chrétienne, par la présence de populations hellénisées, ainsi que l'illustrent plusieurs ensembles de monnaies d'or, d'argent et de bronze, tout comme un grand nombre de vestiges du temple de l'Oxus à Takht-i Sangin.
Les vestiges monumentaux de Pendjikent, Kukh-i Surkh ou Bundjika témoignent pour leur part de la prospérité de la région de la Sogdiane aux VIe-VIIIe siècles, à l'époque où les Sogdiens, commerçants de l'Asie établis jusqu'en Chine et en Asie du Sud-Est, adeptes du mazdéisme, du zoroastrisme, et du manichéisme, sont aussi ouverts aux influences extérieures.
Dans un même temps, les sites d'Adjina tepa et de Hisht tepa nous montrent l'implantation du bouddhisme dans l'est du pays, par les moines cheminant le long des routes commerciales.
L'exposition se termine avec l'établissement de la dynastie des Samanides et l'introduction de l'islam dans la région, ainsi que l'illustrent les vestiges des sites d'Hulbuk ou de Sayod, ainsi que d'importants trésors monétaires.