LOUBERT Ann, PAYOT Daniel, RECHT Roland , THELOT Jérôme, ZIMMER Alexis .
Stéphane Spach, photographe.
L'Atelier cotemporain
Prix régulier
€35,00
N° d'inventaire | 26159 |
Format | 22 x 30 |
Détails | 336 p., broché. |
Publication | Paris, 2022 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782850351020 |
Stéphane Spach glane et collecte. Il soustrait le décor, fixe, et répète.
Il n’en plante un que pour mieux révéler les contours et la matérialité nue de l’objet.
Il s’agit presque toujours de délier l’objet, de le dégager de ses liens, afin de (le) faire voir autrement (de faire sentir, toucher autrement, car ces objets ainsi saisis sont pleins d’entailles, de plis et d’éraflures).
Alors, la familiarité – ou l’absence – des relations qu’avec lui nous entretenions se met subrepticement à vaciller. Le familier inquiète, et c’est par là qu’il suscite, qu’il oblige presque, l’attention.
L’attention particulière qu’il déploie lorsqu’il saisit (capture) des paysages n’est qu’un autre versant de ce travail qui s’attache à produire le cadre d’une célébration de l’ordinaire. Une banalité – des lieux, des éléments qui les composent – qui se situe au seuil de nos regards familiers, de leur absence ou de leur effacement.
Il n’en plante un que pour mieux révéler les contours et la matérialité nue de l’objet.
Il s’agit presque toujours de délier l’objet, de le dégager de ses liens, afin de (le) faire voir autrement (de faire sentir, toucher autrement, car ces objets ainsi saisis sont pleins d’entailles, de plis et d’éraflures).
Alors, la familiarité – ou l’absence – des relations qu’avec lui nous entretenions se met subrepticement à vaciller. Le familier inquiète, et c’est par là qu’il suscite, qu’il oblige presque, l’attention.
L’attention particulière qu’il déploie lorsqu’il saisit (capture) des paysages n’est qu’un autre versant de ce travail qui s’attache à produire le cadre d’une célébration de l’ordinaire. Une banalité – des lieux, des éléments qui les composent – qui se situe au seuil de nos regards familiers, de leur absence ou de leur effacement.
Il n’en plante un que pour mieux révéler les contours et la matérialité nue de l’objet.
Il s’agit presque toujours de délier l’objet, de le dégager de ses liens, afin de (le) faire voir autrement (de faire sentir, toucher autrement, car ces objets ainsi saisis sont pleins d’entailles, de plis et d’éraflures).
Alors, la familiarité – ou l’absence – des relations qu’avec lui nous entretenions se met subrepticement à vaciller. Le familier inquiète, et c’est par là qu’il suscite, qu’il oblige presque, l’attention.
L’attention particulière qu’il déploie lorsqu’il saisit (capture) des paysages n’est qu’un autre versant de ce travail qui s’attache à produire le cadre d’une célébration de l’ordinaire. Une banalité – des lieux, des éléments qui les composent – qui se situe au seuil de nos regards familiers, de leur absence ou de leur effacement.