Signatures sahariennes. Terroirs et territoires vus du ciel.
PUProvenceN° d'inventaire | 16346 |
Format | 22 x 27 |
Détails | 307 p., illustrations couleurs et N/B in-texte, broché. |
Publication | Aix-en-Provence, 2012 |
Etat | Neuf |
ISBN | |
Chaque époque, chaque population, a laissé son empreinte sur la vaste toile de fond du désert. Trace ténue ou marque puissante, chacune est une signature humaine, riche de toute signification. Cet ouvrage propose une redécouverte du Sahara à partir du ciel, en conjuguant les images satellitales avec des photos prises au sol, et des plans ou schémas. Il fait circuler le lecteur librement dans l’ensemble du Sahara, de l’Atlantique à la mer Rouge, à travers les dix États sahariens, pour en mesurer tout à la fois l’unité et la diversité. Il se focalise sur les créations humaines, oasis, ksour, salines, périmètres irrigués, villes, etc., dont la beauté égale largement celle des paysages naturels. De Ouargla à Tombouctou, de Chinguetti aux oasis égyptiennes, ces empreintes humaines se révèlent souvent être des splendeurs. Entrez pas à pas dans ces œuvres humaines. Ne dit-on pas du Sahara qu’il est un musée à ciel ouvert ?
Chaque époque, chaque population, a laissé son empreinte sur la vaste toile de fond du désert. Trace ténue ou marque puissante, chacune est une signature humaine, riche de toute signification. Cet ouvrage propose une redécouverte du Sahara à partir du ciel, en conjuguant les images satellitales avec des photos prises au sol, et des plans ou schémas. Il fait circuler le lecteur librement dans l’ensemble du Sahara, de l’Atlantique à la mer Rouge, à travers les dix États sahariens, pour en mesurer tout à la fois l’unité et la diversité. Il se focalise sur les créations humaines, oasis, ksour, salines, périmètres irrigués, villes, etc., dont la beauté égale largement celle des paysages naturels. De Ouargla à Tombouctou, de Chinguetti aux oasis égyptiennes, ces empreintes humaines se révèlent souvent être des splendeurs. Entrez pas à pas dans ces œuvres humaines. Ne dit-on pas du Sahara qu’il est un musée à ciel ouvert ?