Signac et les indépendants.
HazanN° d'inventaire | 22877 |
Format | 25 x 29 |
Détails | 384 p., relié. |
Publication | Paris, 2020 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782754111379 |
Un ouvrage complet et exceptionnel sur la vie artistique parisienne au temps de la Belle Époque, où une révolution culturelle s’engage avec la création à Paris d’un Salon des Indépendants - dont Paul Signac (1863-1935)est cofondateur -, et la naissance du postimpressionnisme (ou néo-impressionnisme). Paris, 1900 : une révolution s’engage au temps de la Belle Époque. « L’art pour tous ! , clament les artistes qui exposent « sans jury ni récompense . Cofondateur du Salon des Indépendants, Paul Signac s’impose comme le théoricien des « impressionnistes dits scientifiques . Il divise la couleur en taches pures et serrées sur la toile pour que la forme surgisse du mélange optique : il ambitionne un art total entre le paradis perdu de l’âge d’or et l’utopie sociale. Il défend une peinture positiviste, promoteur d’une modernité technique et politique. Ses compagnons répandent le style « pointilliste comme une traînée de poudre de Paris à Bruxelles : les « néos exaltent les lendemains qui chantent. L’artiste pose en intellectuel engagé, sous la plume de critiques tels que Fénéon, à l’époque de l’affaire Dreyfus. Un corpus grandiose de peintures et d’oeuvres graphiques de Signac et des avant-gardes, des impressionnistes (Monet et Morisot) aux fauves (Dufy, Friesz, Marquet) : symbolistes (Gauguin, Mucha, Redon), nabis (Bonnard, Denis, Lacombe, Sérusier, Ranson, Vallotton), néo-impressionnistes (Cross, Guillaumin, Luce, Pissarro, Seurat, Van Rysselberghe), témoins de la vie parisienne (Anquetin, Degas, Lautrec, Picasso, Steinlen). Une collection privée d’exception pour la première fois exposée dans son ensemble.
Un ouvrage complet et exceptionnel sur la vie artistique parisienne au temps de la Belle Époque, où une révolution culturelle s’engage avec la création à Paris d’un Salon des Indépendants - dont Paul Signac (1863-1935)est cofondateur -, et la naissance du postimpressionnisme (ou néo-impressionnisme). Paris, 1900 : une révolution s’engage au temps de la Belle Époque. « L’art pour tous ! , clament les artistes qui exposent « sans jury ni récompense . Cofondateur du Salon des Indépendants, Paul Signac s’impose comme le théoricien des « impressionnistes dits scientifiques . Il divise la couleur en taches pures et serrées sur la toile pour que la forme surgisse du mélange optique : il ambitionne un art total entre le paradis perdu de l’âge d’or et l’utopie sociale. Il défend une peinture positiviste, promoteur d’une modernité technique et politique. Ses compagnons répandent le style « pointilliste comme une traînée de poudre de Paris à Bruxelles : les « néos exaltent les lendemains qui chantent. L’artiste pose en intellectuel engagé, sous la plume de critiques tels que Fénéon, à l’époque de l’affaire Dreyfus. Un corpus grandiose de peintures et d’oeuvres graphiques de Signac et des avant-gardes, des impressionnistes (Monet et Morisot) aux fauves (Dufy, Friesz, Marquet) : symbolistes (Gauguin, Mucha, Redon), nabis (Bonnard, Denis, Lacombe, Sérusier, Ranson, Vallotton), néo-impressionnistes (Cross, Guillaumin, Luce, Pissarro, Seurat, Van Rysselberghe), témoins de la vie parisienne (Anquetin, Degas, Lautrec, Picasso, Steinlen). Une collection privée d’exception pour la première fois exposée dans son ensemble.