Sexe, mort et sacrifice dans la religion Mochica.
SomogyN° d'inventaire | 13710 |
Format | 19 x 26,5 |
Détails | 103 p., 86 figures, broché à rabats. |
Publication | Paris, 2010 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782757203392 |
La civilisation mochica (Ier-VIIIe siècle), dont témoignent les grands sites cérémoniels et funéraires de la côte nord du Pérou, se place, au même titre que l'Empire inca, au rang des plus grandes cultures indigènes des Andes. Ses productions céramiques, d'une virtuosité technique et d'un réalisme surprenants, forment une imagerie sexuelle et sacrificielle unique dans l'art précolombien. Cette iconographie, à caractère rituel et funéraire, illustre, entre autres choses, le passage des seigneurs mochicas du monde des vivants au monde des morts puis à celui des ancêtres mythiques divinisés, garants de la vitalité du monde. Les scènes sexuelles dépeintes par la céramique sont des métaphores pour exprimer autant les rapports entre les vivants, les morts et les dieux que les processus de régénération de la nature.
La civilisation mochica (Ier-VIIIe siècle), dont témoignent les grands sites cérémoniels et funéraires de la côte nord du Pérou, se place, au même titre que l'Empire inca, au rang des plus grandes cultures indigènes des Andes. Ses productions céramiques, d'une virtuosité technique et d'un réalisme surprenants, forment une imagerie sexuelle et sacrificielle unique dans l'art précolombien. Cette iconographie, à caractère rituel et funéraire, illustre, entre autres choses, le passage des seigneurs mochicas du monde des vivants au monde des morts puis à celui des ancêtres mythiques divinisés, garants de la vitalité du monde. Les scènes sexuelles dépeintes par la céramique sont des métaphores pour exprimer autant les rapports entre les vivants, les morts et les dieux que les processus de régénération de la nature.