Sarah Moon. PasséPrésent.
Paris MuséesN° d'inventaire | 23826 |
Format | 24 x 26 |
Détails | 240 p., cartonnage éditeur. |
Publication | Paris, 2020 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782759604630 |
PasséPrésent a été imaginé par Sarah Moon comme un dialogue entre les photographies, les films et les livres que l’artiste réalise depuis le début de son parcours.
D’abord mannequin dans les années 1960, Sarah Moon pratique la photographie en autodidacte, et conçoit ses premières campagnes pour la mode, qui rencontrent un écho international – en particulier pour l’image de la marque Cacharel. Elle façonne un univers fictionnel où affleurent les références littéraires et cinématographiques.
Au milieu des années 1980, elle initie une pratique plus personnelle, qui prolonge ses recherches sur la fabrication des récits, sur les illusions photographiques et leur disparition dans la fuite du temps. Aborder l’œuvre de Sarah Moon nécessite en effet de revoir nos valeurs temporelles, et leurs délimitations.
En cohérence avec cette vision, la photographe a souhaité croiser les époques, les typologies et les sujets. Ses images se nourrissent les unes des autres et continuent de vivre dans l’exposition, laissant au visiteur la possibilité de faire naitre d’autres images immatérielles par ces rapprochements.
PasséPrésent a été imaginé par Sarah Moon comme un dialogue entre les photographies, les films et les livres que l’artiste réalise depuis le début de son parcours.
D’abord mannequin dans les années 1960, Sarah Moon pratique la photographie en autodidacte, et conçoit ses premières campagnes pour la mode, qui rencontrent un écho international – en particulier pour l’image de la marque Cacharel. Elle façonne un univers fictionnel où affleurent les références littéraires et cinématographiques.
Au milieu des années 1980, elle initie une pratique plus personnelle, qui prolonge ses recherches sur la fabrication des récits, sur les illusions photographiques et leur disparition dans la fuite du temps. Aborder l’œuvre de Sarah Moon nécessite en effet de revoir nos valeurs temporelles, et leurs délimitations.
En cohérence avec cette vision, la photographe a souhaité croiser les époques, les typologies et les sujets. Ses images se nourrissent les unes des autres et continuent de vivre dans l’exposition, laissant au visiteur la possibilité de faire naitre d’autres images immatérielles par ces rapprochements.