Sandé, société secrète féminine.
Gourcuff GradenigoN° d'inventaire | 25885 |
Format | 24,5 x 32,5 |
Détails | 340 p., richement illustré, relié. |
Publication | Montreuil, 2022 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782353403677 |
Au début des années 1970 à Abidjan, Christiane Kauer a vu pour la première fois un masque heaume au visage féminin qui l'a intriguée et conduite à découvrir le Sandé.
Le Sandé est la principale société secrète féminine présente en Sierra Leone et au Libéria au sein de plusieurs ethnies, dont la plus importante et la plus étudiée est l'ethnie mendé. Ceci explique certainement pourquoi, à tort, le masque heaume emblématique du Sandé est bien souvent systématiquement appelé masque mendé.
Habituellement, les femmes ne dansent pas avec des masques. Le Sandé a une particularité essentielle : les femmes, initiées de haut rang, possèdent et surtout dansent avec leur masque-heaume. Lors des cérémonies rituelles, en particulier lors de l'initiation, le pouvoir et le poids social du Sandé se manifestent à travers la présence de ces masques sacrés.
Si ces masques-heaumes du Sandé sont admirés pour un plaisir esthétique purement visuel, il convient de pouvoir décrypter les messages transmis par les éléments sculptés sur le visage, la coiffure. Lire le masque est ainsi la démarche de Christiane Kauer dans cet ouvrage.
C'est la première fois qu'un tel ouvrage est écrit en Français. Il s'adresse autant aux connaisseurs, collectionneurs ou non, n'ayant eu à disposition jusqu'à présent, qu'une documentation anglophone ou traduite de l'allemand, qu'à un public plus large d'amateurs d'arts premiers.
Au début des années 1970 à Abidjan, Christiane Kauer a vu pour la première fois un masque heaume au visage féminin qui l'a intriguée et conduite à découvrir le Sandé.
Le Sandé est la principale société secrète féminine présente en Sierra Leone et au Libéria au sein de plusieurs ethnies, dont la plus importante et la plus étudiée est l'ethnie mendé. Ceci explique certainement pourquoi, à tort, le masque heaume emblématique du Sandé est bien souvent systématiquement appelé masque mendé.
Habituellement, les femmes ne dansent pas avec des masques. Le Sandé a une particularité essentielle : les femmes, initiées de haut rang, possèdent et surtout dansent avec leur masque-heaume. Lors des cérémonies rituelles, en particulier lors de l'initiation, le pouvoir et le poids social du Sandé se manifestent à travers la présence de ces masques sacrés.
Si ces masques-heaumes du Sandé sont admirés pour un plaisir esthétique purement visuel, il convient de pouvoir décrypter les messages transmis par les éléments sculptés sur le visage, la coiffure. Lire le masque est ainsi la démarche de Christiane Kauer dans cet ouvrage.
C'est la première fois qu'un tel ouvrage est écrit en Français. Il s'adresse autant aux connaisseurs, collectionneurs ou non, n'ayant eu à disposition jusqu'à présent, qu'une documentation anglophone ou traduite de l'allemand, qu'à un public plus large d'amateurs d'arts premiers.