Sallandrouze de Lamornaix 1801-1878. Histoire d'une manufacture d'exception.
SilvanaEditorialeN° d'inventaire | 25083 |
Format | 24 x 30 |
Détails | 656 p., 350 illustrations, cartonnage éditeur. |
Publication | Milan, 2021 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9788836648740 |
Le nom de Sallandrouze de Lamornaix a donné le nom a une des plus grandes entreprises française du Premier Empire ; lors de la première exposition nationale des produits de l’industrie à Paris en 1802, l’entreprise se nommait alors Rogier et Sallandrouze, née de l’association entre Jean Sallandrouze de Lamornaix et le maire d’Aubusson Guillaume Rogier. Puis l'ouverture d'une manufacture de tapis velours dans le quartier du Marais, à Paris, et la succession de son fils, Charles Sallandrouze de Lamornaix, propulsent l'entreprise vers des réussites incroyables.
Le succès perdure avec la reprise par le fils de Charles, Octave, mais subit de plein fouet les effets de la défaite contre la Prusse et l'entreprise est contrainte de fermer ses portes en 1872, pour mieux renaître quelques années plus tard sous le nom de la Manufacture de Saint Jean.
Au-delà des oeuvres produites, c'est tout un pan de l'Histoire de France – politique, industrielle et artistique – que cet ouvrage nous invite à (re)découvrir.
Aubusson, Musée de la tapisserie, juillet - septembre 2021
Le nom de Sallandrouze de Lamornaix a donné le nom a une des plus grandes entreprises française du Premier Empire ; lors de la première exposition nationale des produits de l’industrie à Paris en 1802, l’entreprise se nommait alors Rogier et Sallandrouze, née de l’association entre Jean Sallandrouze de Lamornaix et le maire d’Aubusson Guillaume Rogier. Puis l'ouverture d'une manufacture de tapis velours dans le quartier du Marais, à Paris, et la succession de son fils, Charles Sallandrouze de Lamornaix, propulsent l'entreprise vers des réussites incroyables.
Le succès perdure avec la reprise par le fils de Charles, Octave, mais subit de plein fouet les effets de la défaite contre la Prusse et l'entreprise est contrainte de fermer ses portes en 1872, pour mieux renaître quelques années plus tard sous le nom de la Manufacture de Saint Jean.
Au-delà des oeuvres produites, c'est tout un pan de l'Histoire de France – politique, industrielle et artistique – que cet ouvrage nous invite à (re)découvrir.
Aubusson, Musée de la tapisserie, juillet - septembre 2021