Rome souterraine.
DENIS-BOULET Noële Maurice.

Rome souterraine.

Fayard
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N° d'inventaire 2426
Format 14,5 x 19,5
Détails 294 p., 18 fig., 16 planches, broché.
Publication Paris, 1965
Etat Occasion
ISBN

L'Archéologie est à la mode. Les fouilles proches et lointaines intéressent de plus en plus un public étendu, soucieux de connaître le passé d'une manière exacte et concrète. Rome reste un lieu irremplaçable pour la connaissance de la primitive Eglise et de son contexte culturel: ses souterrains concervent à ce sujet des témoignages introuvables ailleurs, et aussi des oeuvres d'art bien antérieures à celles que l'on admire justement en Orient. Combler cette lacune en traitant de Rome routerraine avec un souci aigu de vérité scientifique et d'une manière aussi vivante que possible, tel a été le but de Mme Noële Maurice Denis-Boulet, qui ne se propose certes pas ici de tout décrire, mais seulement de donner un choix parmi les découvertes récentes ou encore mal connues, et de présenter des interprétations et conclusions ignorées du public français. Pour cet essai, elle est qulifiée par trente ans d'éudes romaines ininterrompues et toujours renouvelées depuis l'époque de la première édition du guide «Romée«. Elle a utilisé en particulier bien des éléments de l'effort qu'elle a fourni en six années de cours d'archéologie chrétienne à l'Institut supérieur de Liturgie de Paris.

L'Archéologie est à la mode. Les fouilles proches et lointaines intéressent de plus en plus un public étendu, soucieux de connaître le passé d'une manière exacte et concrète. Rome reste un lieu irremplaçable pour la connaissance de la primitive Eglise et de son contexte culturel: ses souterrains concervent à ce sujet des témoignages introuvables ailleurs, et aussi des oeuvres d'art bien antérieures à celles que l'on admire justement en Orient. Combler cette lacune en traitant de Rome routerraine avec un souci aigu de vérité scientifique et d'une manière aussi vivante que possible, tel a été le but de Mme Noële Maurice Denis-Boulet, qui ne se propose certes pas ici de tout décrire, mais seulement de donner un choix parmi les découvertes récentes ou encore mal connues, et de présenter des interprétations et conclusions ignorées du public français. Pour cet essai, elle est qulifiée par trente ans d'éudes romaines ininterrompues et toujours renouvelées depuis l'époque de la première édition du guide «Romée«. Elle a utilisé en particulier bien des éléments de l'effort qu'elle a fourni en six années de cours d'archéologie chrétienne à l'Institut supérieur de Liturgie de Paris.