Ribera: Ténèbres et lumière.
Petit Palais/Musée des Beaux Arts de Paris/Paris MuséesN° d'inventaire | 31667 |
Format | 23,5 x 30,5 |
Détails | 304 p., nombreuses illustrations couleurs, cartonnage éditeur. |
Publication | Paris, 2024 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9791020409430 |
Le Petit Palais accueille la première rétrospective française du peintre José de Ribera (1591-1652).
Sa formation artistique est encore sujette à controverse, mais sa présence est attestée à Parme en 1611, alors qu'il n'a que vingt ans. Déjà son génie ne fait aucun doute et il s’impose comme l’un des peintres les plus brillants de son époque. Mais c’est à Rome, qu’il rejoint dès 1616, que son talent éclate véritablement, alors qu’il découvre la peinture du Caravage, dont il se fait l’un des fidèles disciples tout en accentuant les contrastes d’ombres et de lumières. Couvert de dettes, il fuit Rome pour Naples, où il finit sa vie. Là, grâce à la protection du vice-roi Conde de Osuna, Ribera devient rapidement une personnalité éminente de la scène artistique napolitaine, recevant de nombreuses commandes de l’aristocratie locale et des puissants ordres religieux. Si Ribera est proche du réalisme de Caravage, il absorbe également des éléments d'autres langages artistiques de son époque, notamment des aspects du classicisme bolonais et de la couleur romaine.
Beaux Arts Éditions revient sur ce génie précoce et montre une œuvre tragique et terriblement baroque, qui oscille sans cesse entre le réalisme cru et la violence implacable des clairs-obscurs.
Le Petit Palais accueille la première rétrospective française du peintre José de Ribera (1591-1652).
Sa formation artistique est encore sujette à controverse, mais sa présence est attestée à Parme en 1611, alors qu'il n'a que vingt ans. Déjà son génie ne fait aucun doute et il s’impose comme l’un des peintres les plus brillants de son époque. Mais c’est à Rome, qu’il rejoint dès 1616, que son talent éclate véritablement, alors qu’il découvre la peinture du Caravage, dont il se fait l’un des fidèles disciples tout en accentuant les contrastes d’ombres et de lumières. Couvert de dettes, il fuit Rome pour Naples, où il finit sa vie. Là, grâce à la protection du vice-roi Conde de Osuna, Ribera devient rapidement une personnalité éminente de la scène artistique napolitaine, recevant de nombreuses commandes de l’aristocratie locale et des puissants ordres religieux. Si Ribera est proche du réalisme de Caravage, il absorbe également des éléments d'autres langages artistiques de son époque, notamment des aspects du classicisme bolonais et de la couleur romaine.
Beaux Arts Éditions revient sur ce génie précoce et montre une œuvre tragique et terriblement baroque, qui oscille sans cesse entre le réalisme cru et la violence implacable des clairs-obscurs.