Pierre Soulages, Conques, une lumière révélée.
Bernard ChauveauN° d'inventaire | 23376 |
Format | 20 x 25 |
Détails | 50 p., broché. |
Publication | Paris, 2014 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782363061102 |
Entre 1987 et 1994, Pierre Soulages réalise les 104 vitraux de l’église abbatiale Sainte-Foy-de-Conques, en créant un verre non coloré et translucide, qui respecte les variations de la lumière naturelle. Dans un texte inédit, Bruno Duborgel porte un regard nouveau sur le travail de recherche de l’artiste qui a réalisé plus de 700 tentatives avant de parvenir au résultat espéré ! En mettant en dialogue la réflexion de Pierre Soulages avec des vues intérieures et extérieures des vitraux de l’église, le texte révèle la longue aventure créatrice de l’artiste, traversée de questions esthétiques, spirituelles et technologiques. Les vitraux de Pierre Soulages expriment ainsi le passage du temps. Leur nature «physique» est un tremplin pour une expérience poétique, une méditation d’ordre métaphysique. Elle révèle une lumière qui, selon les mots de l’artiste, «propose de la contemplation, du silence, de la concentration, de l’intériorité».
Entre 1987 et 1994, Pierre Soulages réalise les 104 vitraux de l’église abbatiale Sainte-Foy-de-Conques, en créant un verre non coloré et translucide, qui respecte les variations de la lumière naturelle. Dans un texte inédit, Bruno Duborgel porte un regard nouveau sur le travail de recherche de l’artiste qui a réalisé plus de 700 tentatives avant de parvenir au résultat espéré ! En mettant en dialogue la réflexion de Pierre Soulages avec des vues intérieures et extérieures des vitraux de l’église, le texte révèle la longue aventure créatrice de l’artiste, traversée de questions esthétiques, spirituelles et technologiques. Les vitraux de Pierre Soulages expriment ainsi le passage du temps. Leur nature «physique» est un tremplin pour une expérience poétique, une méditation d’ordre métaphysique. Elle révèle une lumière qui, selon les mots de l’artiste, «propose de la contemplation, du silence, de la concentration, de l’intériorité».