Paul Delvaux. L'homme qui aimait les trains.
SnoeckN° d'inventaire | 22271 |
Format | 21,5 x 27 |
Détails | 240 p., relié. |
Publication | Bruxelles, 2019 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9789461615725 |
Reconnu comme le peintre des femmes et des squelettes, Delvaux ajouta une éclat à sa renommée en devenant également le peintre des trains et des gares. Fasciné par les grands monstres de métal de son enfance, crachant du feu et sifflant de la vapeur, Delvaux s’est attaché à reproduire dans les justes détails ces locomotives mystérieuses. Cet ouvrage en rend compte au travers d’étonnantes comparaisons illustrées. Photographies et dessins dévoilent également la passion de l’homme pour l’univers des cheminots. Ce livre propose une exploration inédite au cœur d’œuvres ferroviaires baignées de lune. La destination des trains de Delvaux n’appartient qu’à ceux qui les regardent. Chaque œuvre est une invitation à l’évasion vers des contrées oniriques où un train peut en cacher un autre. Camille Brasseur, directrice scientifique des collections de la Fondation Paul Delvaux, s’investit depuis 2018 à promouvoir l’œuvre de l’artiste. Historienne de l’art, elle mène parallèlement un travail consacré à l’art belge entamé au Centre de Recherche Cobra de l’ULB (2003-2007) poursuivi au BAM à Mons (2008-2013) et au sein du Maurice Verbaet Art Center à Anvers (2013-2017). Commissaire d’expositions, elle a publié plusieurs ouvrages dédiés à l’art belge d’après-guerre (Vandercam, Mortier, Guiette).
Reconnu comme le peintre des femmes et des squelettes, Delvaux ajouta une éclat à sa renommée en devenant également le peintre des trains et des gares. Fasciné par les grands monstres de métal de son enfance, crachant du feu et sifflant de la vapeur, Delvaux s’est attaché à reproduire dans les justes détails ces locomotives mystérieuses. Cet ouvrage en rend compte au travers d’étonnantes comparaisons illustrées. Photographies et dessins dévoilent également la passion de l’homme pour l’univers des cheminots. Ce livre propose une exploration inédite au cœur d’œuvres ferroviaires baignées de lune. La destination des trains de Delvaux n’appartient qu’à ceux qui les regardent. Chaque œuvre est une invitation à l’évasion vers des contrées oniriques où un train peut en cacher un autre. Camille Brasseur, directrice scientifique des collections de la Fondation Paul Delvaux, s’investit depuis 2018 à promouvoir l’œuvre de l’artiste. Historienne de l’art, elle mène parallèlement un travail consacré à l’art belge entamé au Centre de Recherche Cobra de l’ULB (2003-2007) poursuivi au BAM à Mons (2008-2013) et au sein du Maurice Verbaet Art Center à Anvers (2013-2017). Commissaire d’expositions, elle a publié plusieurs ouvrages dédiés à l’art belge d’après-guerre (Vandercam, Mortier, Guiette).