Myriam Mihindou. Ilimb. L'essence des pleurs.
Musée du quai Branly.N° d'inventaire | 30451 |
Format | 19,5 X 28 |
Détails | 48 p., illustrations couleurs, broché. |
Publication | Paris, 2024 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782357441606 |
Catalogue d'exposition.
Invitée a réinvestir la galerie Marc Ladreit de Lacharrière, l'artiste franco-gabonaise Myriam Mihindou propose une installation inédite qui célèbre la culture punu par le biais des collections d'instruments de musique et des archives sonores conservées au musée. Par le travail de la céramique, l'assemblage d'objets, de sculptures, de formes, de matières, de sons et les interactions suscitées avec les visiteurs, elle propose une œuvre qui donne a voir, entendre et ressentir la relation qu'elle entretient avec sa culture.
Myriam Mihindou rend hommage aux pleureuses punu, dont elle fait elle-même partie, véritables accompagnatrices d'âmes qui guident les défunts vers l'au-delà et les vivants dans leur deuil. Elle réinterroge une pratique ancestrale ainsi que les récits et les mythes qui l'accompagnent et, par son œuvre plurielle, « totale, performative, organique et corporelle » comme elle aime a le souligner, met en évidence la vertu cathartique des chants et des larmes de ces femmes sur le corps social et individuel.
Exposition au Musée du quai Branly - Jacques Chirac du 6 février au 10 novembre 2024
Catalogue d'exposition.
Invitée a réinvestir la galerie Marc Ladreit de Lacharrière, l'artiste franco-gabonaise Myriam Mihindou propose une installation inédite qui célèbre la culture punu par le biais des collections d'instruments de musique et des archives sonores conservées au musée. Par le travail de la céramique, l'assemblage d'objets, de sculptures, de formes, de matières, de sons et les interactions suscitées avec les visiteurs, elle propose une œuvre qui donne a voir, entendre et ressentir la relation qu'elle entretient avec sa culture.
Myriam Mihindou rend hommage aux pleureuses punu, dont elle fait elle-même partie, véritables accompagnatrices d'âmes qui guident les défunts vers l'au-delà et les vivants dans leur deuil. Elle réinterroge une pratique ancestrale ainsi que les récits et les mythes qui l'accompagnent et, par son œuvre plurielle, « totale, performative, organique et corporelle » comme elle aime a le souligner, met en évidence la vertu cathartique des chants et des larmes de ces femmes sur le corps social et individuel.
Exposition au Musée du quai Branly - Jacques Chirac du 6 février au 10 novembre 2024