Mirgissa VI, La ville hors les murs. FIFAO 89.
IFAON° d'inventaire | 25316 |
Format | 25 x 33 |
Détails | premier volume: 290 p., 196 pages de texte, 89 planches N&B, 44 figures, cartonnage éditeur second volume: 35 plans sous chemise éditeur. |
Publication | Le Caire, 2022 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782724707977 |
Le volume VI de la série Mirgissa est consacré à la publication de la ville civile égyptienne MI, une des implantations les plus anciennes sur le site. Située au nord de la forteresse à laquelle elle était reliée par l’une des premières enceintes, elle fermait la zone portuaire du mnnw Iqen. Elle fut probablement construite sous Sésostris Ier, comme Bouhen à l’autre extrémité des rapides de la deuxième cataracte. Cet habitat, proche du Nil, a la forme d’un vaste quadrilatère ; il est protégé par sa propre enceinte de pierres. Le plan diffère des « villages d’ouvriers ». À l’ombre des ruelles s’entremêlent de vastes demeures patriciennes – édifiées en briques crues à l’abri de leur enceinte sinusoïdale, avec leurs installations domestiques et parfois leur propre jardinet –, et des maisons plus modestes édifiées en pierres, ou encore des ateliers de potiers, des boulangeries. Un grand jardin ou potager occupe le centre du village. Le mobilier, presque uniquement de la céramique, date l’occupation de la deuxième moitié de la XIIe dynastie à la fin du Moyen Empire. Cette édition comporte un volume de texte et un coffret présentant trente-sept plans du site.
Le volume VI de la série Mirgissa est consacré à la publication de la ville civile égyptienne MI, une des implantations les plus anciennes sur le site. Située au nord de la forteresse à laquelle elle était reliée par l’une des premières enceintes, elle fermait la zone portuaire du mnnw Iqen. Elle fut probablement construite sous Sésostris Ier, comme Bouhen à l’autre extrémité des rapides de la deuxième cataracte. Cet habitat, proche du Nil, a la forme d’un vaste quadrilatère ; il est protégé par sa propre enceinte de pierres. Le plan diffère des « villages d’ouvriers ». À l’ombre des ruelles s’entremêlent de vastes demeures patriciennes – édifiées en briques crues à l’abri de leur enceinte sinusoïdale, avec leurs installations domestiques et parfois leur propre jardinet –, et des maisons plus modestes édifiées en pierres, ou encore des ateliers de potiers, des boulangeries. Un grand jardin ou potager occupe le centre du village. Le mobilier, presque uniquement de la céramique, date l’occupation de la deuxième moitié de la XIIe dynastie à la fin du Moyen Empire. Cette édition comporte un volume de texte et un coffret présentant trente-sept plans du site.