Mario Carnicelli : Nous.
CARNICELLI Mario, VALTORTA Roberta.

Mario Carnicelli : Nous.

Contrejour
Prix régulier €35,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 28542
Format 24 x 30
Détails 104 p., nombreuses photographies, cartonnage éditeur.
Publication Biarritz, 2023
Etat Neuf
ISBN 9791090294615
C’est à l’âge de 14 ans que l’auteur italien, né en 1937 dans un village des Abruzzes, commence la photographie dans le studio familial.
Très vite, il en devient le photographe principal et se spécialise dans les prises de vues extérieures. Manifestations, fêtes du Travail, réunions
politiques et syndicales... Mario Carnicelli aime s’immerger dans les événements qui rythment la vie de ses concitoyens. Alternant entre le noir et blanc et la couleur, il développe peu à peu un style documentaire au croisement de la photographie humaniste et de la street photography. S’il assiste à des événements majeurs comme les funérailles du communiste Togliatti en 1964, ce sont avant tout les individus qui l’intéressent et ce qu’il peut percevoir de la société à travers eux. Faisant de la rue son observatoire, il parvient toujours à saisir un geste,
une expression, un regard au milieu d’une foule ou au détour d’une rue. Ainsi, de l’Italie aux États-Unis en passant par l’Asie, son oeuvre est une véritable analyse sociétale des cinquante dernières années.
Ce livre est édité dans le cadre du Prix Viviane Esders, dédié aux photographes professionnels de plus de 60 ans, décerné à Mario Carnicelli en 2022.
Mario Carnicelli est né en 1937 à Atri en Italie et commence à travailler dès l’âge de 14 ans dans l’entreprise familiale de photographie. Il commence véritablement sa pratique de photographe dans les années 1970 lorsqu’il ouvre son magasin à Florence sur la Piazza del Duomo. Entièrement dédié à son studio, il obtient une reconnaissance tardive notamment à l’occasion de la publication de son premier livre C’era Togliatti, paru en 2014 chez Danilo Montanari Editore. Cette série fait l’objet d’une grande exposition personnelle au Palazzo Fabroni, puis au Musée national des Arts et Traditions populaires à Rome. À partir de 2018, ses photographies sont présentées à la David Hill Gallery de Londres permettant à son travail d’atteindre un plus large public.
C’est à l’âge de 14 ans que l’auteur italien, né en 1937 dans un village des Abruzzes, commence la photographie dans le studio familial.
Très vite, il en devient le photographe principal et se spécialise dans les prises de vues extérieures. Manifestations, fêtes du Travail, réunions
politiques et syndicales... Mario Carnicelli aime s’immerger dans les événements qui rythment la vie de ses concitoyens. Alternant entre le noir et blanc et la couleur, il développe peu à peu un style documentaire au croisement de la photographie humaniste et de la street photography. S’il assiste à des événements majeurs comme les funérailles du communiste Togliatti en 1964, ce sont avant tout les individus qui l’intéressent et ce qu’il peut percevoir de la société à travers eux. Faisant de la rue son observatoire, il parvient toujours à saisir un geste,
une expression, un regard au milieu d’une foule ou au détour d’une rue. Ainsi, de l’Italie aux États-Unis en passant par l’Asie, son oeuvre est une véritable analyse sociétale des cinquante dernières années.
Ce livre est édité dans le cadre du Prix Viviane Esders, dédié aux photographes professionnels de plus de 60 ans, décerné à Mario Carnicelli en 2022.
Mario Carnicelli est né en 1937 à Atri en Italie et commence à travailler dès l’âge de 14 ans dans l’entreprise familiale de photographie. Il commence véritablement sa pratique de photographe dans les années 1970 lorsqu’il ouvre son magasin à Florence sur la Piazza del Duomo. Entièrement dédié à son studio, il obtient une reconnaissance tardive notamment à l’occasion de la publication de son premier livre C’era Togliatti, paru en 2014 chez Danilo Montanari Editore. Cette série fait l’objet d’une grande exposition personnelle au Palazzo Fabroni, puis au Musée national des Arts et Traditions populaires à Rome. À partir de 2018, ses photographies sont présentées à la David Hill Gallery de Londres permettant à son travail d’atteindre un plus large public.