Lexique du verbe quotidien.
N° d'inventaire | 20156 |
Format | 11,5 x 18 |
Détails | 112 p., broché. |
Publication | Paris, 2016 |
Etat | Neuf |
ISBN | |
Lexique du verbe quotidien réunit une série d’articles publiés au cours des années cinquante dans la revue Réforme. Ces textes manifestes sont les embryons de livres à venir. Du Jardin de Babylone, à La planète et le canton, en passant par Tristes Campagnes et La fin du Paysage, Bernard Charbonneau acquiert la conviction que ce siècle sera à la fois – et pour les même raisons – celui des totalitarismes et du saccage de la nature. Cette position orientera sa manière de décrire l’évolution du monde et des paysages qui l’entourent ; elle sera le fil rouge de sa carrière de penseur et de géographe. Bernard Charbonneau dénonce les ravages de l’agriculture intensive et de l’industrie, dévoreuses de ressources naturelles et polluantes, tout en dépassant le cadre strict de la question écologique. Sa pensée s’étend à tous les aspects de la société moderne fondée sur le principe de la croissance et du développement, qu’il soit décrété « durable ou pas : la bureaucratie, l’idéologie du travail, la parcellisation des tâches, les médias, l’éducation et le système scolaire, l’élévation de la performance et de la concurrence au rang de valeurs.
Lexique du verbe quotidien réunit une série d’articles publiés au cours des années cinquante dans la revue Réforme. Ces textes manifestes sont les embryons de livres à venir. Du Jardin de Babylone, à La planète et le canton, en passant par Tristes Campagnes et La fin du Paysage, Bernard Charbonneau acquiert la conviction que ce siècle sera à la fois – et pour les même raisons – celui des totalitarismes et du saccage de la nature. Cette position orientera sa manière de décrire l’évolution du monde et des paysages qui l’entourent ; elle sera le fil rouge de sa carrière de penseur et de géographe. Bernard Charbonneau dénonce les ravages de l’agriculture intensive et de l’industrie, dévoreuses de ressources naturelles et polluantes, tout en dépassant le cadre strict de la question écologique. Sa pensée s’étend à tous les aspects de la société moderne fondée sur le principe de la croissance et du développement, qu’il soit décrété « durable ou pas : la bureaucratie, l’idéologie du travail, la parcellisation des tâches, les médias, l’éducation et le système scolaire, l’élévation de la performance et de la concurrence au rang de valeurs.