![Les terres cuites gréco-romaines du musée égyptien de l’agriculture. BiGen 42.](http://antinoe.fr/cdn/shop/products/008811121_{width}x.jpg?v=1623080754)
Les terres cuites gréco-romaines du musée égyptien de l’agriculture. BiGen 42.
IFAON° d'inventaire | 17104 |
Format | 23,5 x 16,5 |
Détails | 224 p., illustrations couleur, cartonnage éditeur. |
Publication | Le Caire, 2012 |
Etat | Neuf |
ISBN | |
Les collections du musée égyptien de l’Agriculture (Le Caire) comportent 107 terres cuites datées de l’époque gréco-romaine. Lors de leur entrée au musée entre 1932 et 1935, les statuettes ont été sélectionnées autour de quatre grands thèmes, afin d’illustrer une partie des collections constituée de restes d’animaux et de végétaux : les divinités protectrices, les représentations animales, les représentations végétales et les paniers. Ces figurines, moulées pour la plupart, sont généralement qualifiées de « terres cuites du Fayoum en raison du grand nombre de pièces qui y furent découvertes. Principalement attestées en contexte d’habitat, elles ont pourtant été mises au jour dans bien d’autres régions, sur des sites du Delta – en particulier à Alexandrie – , de la Moyenne et de la Haute Égypte, ainsi que dans les oasis et les praesidia du désert Oriental ; nullement circonscrites au Fayoum, ces terres cuites témoignent au contraire d’une production à grande échelle. En s’appuyant sur les données fournies par les fouilles archéologiques récentes et les collections muséographiques publiées ou encore inédites, cet ouvrage aide à revoir la datation de cette documentation et permet de s’interroger largement sur la ou les fonctions de ces terres cuites.
Les collections du musée égyptien de l’Agriculture (Le Caire) comportent 107 terres cuites datées de l’époque gréco-romaine. Lors de leur entrée au musée entre 1932 et 1935, les statuettes ont été sélectionnées autour de quatre grands thèmes, afin d’illustrer une partie des collections constituée de restes d’animaux et de végétaux : les divinités protectrices, les représentations animales, les représentations végétales et les paniers. Ces figurines, moulées pour la plupart, sont généralement qualifiées de « terres cuites du Fayoum en raison du grand nombre de pièces qui y furent découvertes. Principalement attestées en contexte d’habitat, elles ont pourtant été mises au jour dans bien d’autres régions, sur des sites du Delta – en particulier à Alexandrie – , de la Moyenne et de la Haute Égypte, ainsi que dans les oasis et les praesidia du désert Oriental ; nullement circonscrites au Fayoum, ces terres cuites témoignent au contraire d’une production à grande échelle. En s’appuyant sur les données fournies par les fouilles archéologiques récentes et les collections muséographiques publiées ou encore inédites, cet ouvrage aide à revoir la datation de cette documentation et permet de s’interroger largement sur la ou les fonctions de ces terres cuites.