Les singuliers.
N° d'inventaire | 18881 |
Format | 14x20,5 |
Détails | 393 p. broché. |
Publication | Mercuès, 2014 |
Etat | Neuf |
ISBN | |
Durant l’été chaud de 1888, une communauté de peintres prend pension à Pont-Aven, un village pittoresque du Finistère. Parmi eux se trouvent un jeune Belge, Hugo Boch, issu d’une riche famille d’industriels, et un certain Gauguin, autodidacte à la grande gueule qui croit en son génie. Ils sont de cette avant-garde qui veut peindre autrement, voir autrement, vivre autrement. Hugo Boch n’est plus très sûr, lui, de vouloir poursuivre dans la peinture : il expérimente du côté de la photographie, cet art naissant. Surtout, il mène une correspondance assidue et les lettres qui s’échangent, entre la Bretagne, Paris et Bruxelles, sont foisonnantes d’anecdotes. Un vent nouveau se lève, en cette fin de siècle, dans les arts mais aussi dans les moeurs et les techniques. Tous ces explorateurs sont des jeunes gens audacieux, émouvants et parfois drôles, sauvages aussi, qui se battraient en duel pour défendre des tournesols peints par un Hollandais, réfugié dans le Midi, que beaucoup considèrent comme un fou et un barbouilleur… Dans Les Singuliers, Anne Percin mêle figures historiques et personnages fictifs pour nous offrir un roman épistolaire bouillonnant. C’est un tableau monumental, qui croque sur le vif l’esprit du temps et nous le rend vivant.
Durant l’été chaud de 1888, une communauté de peintres prend pension à Pont-Aven, un village pittoresque du Finistère. Parmi eux se trouvent un jeune Belge, Hugo Boch, issu d’une riche famille d’industriels, et un certain Gauguin, autodidacte à la grande gueule qui croit en son génie. Ils sont de cette avant-garde qui veut peindre autrement, voir autrement, vivre autrement. Hugo Boch n’est plus très sûr, lui, de vouloir poursuivre dans la peinture : il expérimente du côté de la photographie, cet art naissant. Surtout, il mène une correspondance assidue et les lettres qui s’échangent, entre la Bretagne, Paris et Bruxelles, sont foisonnantes d’anecdotes. Un vent nouveau se lève, en cette fin de siècle, dans les arts mais aussi dans les moeurs et les techniques. Tous ces explorateurs sont des jeunes gens audacieux, émouvants et parfois drôles, sauvages aussi, qui se battraient en duel pour défendre des tournesols peints par un Hollandais, réfugié dans le Midi, que beaucoup considèrent comme un fou et un barbouilleur… Dans Les Singuliers, Anne Percin mêle figures historiques et personnages fictifs pour nous offrir un roman épistolaire bouillonnant. C’est un tableau monumental, qui croque sur le vif l’esprit du temps et nous le rend vivant.