Les Peintres d'Autun 1900-1950. Une inspiration en terre autunoise.
SomogyN° d'inventaire | 20571 |
Format | 25 x 28 |
Détails | 144 p. 100 illustrations, relié. |
Publication | Paris, 2017 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782757212172 |
Durant des années, ils ont peint ce coin de France : une quinzaine d’artiste, amis, réunis autour de la forte personnalité de Louis Charlot (1878 -1951), tous attachés à ce terroir et à sa ville emblématique, Autun. Le travail de ces peintres n’a pas été notoirement influencé par les grands mouvements (fauvisme, expressionnisme, cubisme, surréalisme, abstraction, etc.) à quelques rares exceptions. Ils ont préservé leur style et leurs techniques propres. Ils les ont fait évoluer, les perfectionnant, en collant à leur époque, sans pour autant déroger à leur source primitive d’inspiration ni chercher à puiser techniquement dans les expressions picturales nouvelles, exception faite pour le travail de Paul Cézanne, dont ils avaient tous eu plus ou moins connaissance. De fait, ils sont restés authentiques et sans tricheries ostentatoires. Ce livre retrace leur aventure artistique et humaine, leur attachement fidèle et revendiqué à ces lieux qui les fascinèrent mais également, avant eux, l’immense William Turner dont on connaît un dessin de la porte d’Arroux. Cette source d’inspiration constante explique-t-elle la profondeur de leur vision, la justesse de leur peinture ? Il s’en dégage en tout cas un amour de ces paysages, une acuité et une « honnêteté qui leur font honneur. Ils ne peignaient pas pour la gloire ni pour vendre mais pour rendre la vérité de ce qu’ils voyaient.
Durant des années, ils ont peint ce coin de France : une quinzaine d’artiste, amis, réunis autour de la forte personnalité de Louis Charlot (1878 -1951), tous attachés à ce terroir et à sa ville emblématique, Autun. Le travail de ces peintres n’a pas été notoirement influencé par les grands mouvements (fauvisme, expressionnisme, cubisme, surréalisme, abstraction, etc.) à quelques rares exceptions. Ils ont préservé leur style et leurs techniques propres. Ils les ont fait évoluer, les perfectionnant, en collant à leur époque, sans pour autant déroger à leur source primitive d’inspiration ni chercher à puiser techniquement dans les expressions picturales nouvelles, exception faite pour le travail de Paul Cézanne, dont ils avaient tous eu plus ou moins connaissance. De fait, ils sont restés authentiques et sans tricheries ostentatoires. Ce livre retrace leur aventure artistique et humaine, leur attachement fidèle et revendiqué à ces lieux qui les fascinèrent mais également, avant eux, l’immense William Turner dont on connaît un dessin de la porte d’Arroux. Cette source d’inspiration constante explique-t-elle la profondeur de leur vision, la justesse de leur peinture ? Il s’en dégage en tout cas un amour de ces paysages, une acuité et une « honnêteté qui leur font honneur. Ils ne peignaient pas pour la gloire ni pour vendre mais pour rendre la vérité de ce qu’ils voyaient.