Les Métamorphoses ou l'âne d'or.
Belles LettresN° d'inventaire | 10992 |
Format | 11 x 18 |
Détails | 576 p., broché. |
Publication | Paris, 2007 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782251799933 |
Collection bilingue classique. Jubilant dans le baroque aux confins de l'érotisme, du fantastique et de la mort, Les Métamorphoses d’Apulée (IIe siècle), seul roman latin dont nous possédions le texte intégral, racontent à la première personne les tribulations d’un naïf trop curieux qu’une opération de sorcellerie ratée a transformé en âne mais qui n’en pense pas moins, et tissent dans tous les styles la trame parodique d’une comédie humaine dont le dénouement est procuré par l’intervention d’Isis-Reine, Déesse Éminentissime. «Ce livre est un chef-d’œuvre. Il me donne à moi des vertiges et des éblouissements ; la nature pour elle-même, le paysage, le côté purement pittoresque des choses sont traités là à la moderne et avec un souffle antique et chrétien tout ensemble qui passe au milieu. ça sent l’encens et l’urine, la bestialité s’y marie au mysticisme, nous sommes bien loin encore de ça nous autres comme faisandage moral.« (Gustave Flaubert, 1852).
Collection bilingue classique. Jubilant dans le baroque aux confins de l'érotisme, du fantastique et de la mort, Les Métamorphoses d’Apulée (IIe siècle), seul roman latin dont nous possédions le texte intégral, racontent à la première personne les tribulations d’un naïf trop curieux qu’une opération de sorcellerie ratée a transformé en âne mais qui n’en pense pas moins, et tissent dans tous les styles la trame parodique d’une comédie humaine dont le dénouement est procuré par l’intervention d’Isis-Reine, Déesse Éminentissime. «Ce livre est un chef-d’œuvre. Il me donne à moi des vertiges et des éblouissements ; la nature pour elle-même, le paysage, le côté purement pittoresque des choses sont traités là à la moderne et avec un souffle antique et chrétien tout ensemble qui passe au milieu. ça sent l’encens et l’urine, la bestialité s’y marie au mysticisme, nous sommes bien loin encore de ça nous autres comme faisandage moral.« (Gustave Flaubert, 1852).