Les grands philosophes de la grèce antique. tome 2. De Socrate à Plotin.
JULLIARD| N° d'inventaire | 25025 |
| Format | 140 x 210 |
| Détails | 245 p., broché. |
| Publication | Paris, 1989 |
| Etat | Occasion |
| ISBN | 9782260006268 |
" On ne s'imagine Platon et Aristote qu'avec de grandes robes de pédants. C'étaient des gens honnêtes et comme les autres, riants avec leurs amis..."
Le second volume des Grands Philosophes de la Grèce antique, de Socrate à Plotin, illustre, à chaque page, cette pensée de Pascal. ce guide peu banal entraîne le lecteur de la cellule où, avant de vider avec sérénité la ciguë imméritée, Socrate a un dernier et immoral entretien avec se fidèles en larmes, jusqu'à ces architectures fantastiques de la pensée que sont les grands mythes platoniciens. Des cyniques à Aristote, une poignée d'homme ont affronté tous les problèmes métaphysiques, moraux et politiques, qui nous occupent encore : l'égalité et la liberté des citoyens, le féminisme, la société collectiviste, sans oublier Éros et l'"amour grec".
Le lecteur se réjouira d'avoir saisi la pensée des anciens Grecs grâce à un introducteur allègre que Luciano de Crescenzo.
Traduit de l'italien par Louis Mézeray.
" On ne s'imagine Platon et Aristote qu'avec de grandes robes de pédants. C'étaient des gens honnêtes et comme les autres, riants avec leurs amis..."
Le second volume des Grands Philosophes de la Grèce antique, de Socrate à Plotin, illustre, à chaque page, cette pensée de Pascal. ce guide peu banal entraîne le lecteur de la cellule où, avant de vider avec sérénité la ciguë imméritée, Socrate a un dernier et immoral entretien avec se fidèles en larmes, jusqu'à ces architectures fantastiques de la pensée que sont les grands mythes platoniciens. Des cyniques à Aristote, une poignée d'homme ont affronté tous les problèmes métaphysiques, moraux et politiques, qui nous occupent encore : l'égalité et la liberté des citoyens, le féminisme, la société collectiviste, sans oublier Éros et l'"amour grec".
Le lecteur se réjouira d'avoir saisi la pensée des anciens Grecs grâce à un introducteur allègre que Luciano de Crescenzo.
Traduit de l'italien par Louis Mézeray.