Les gaulois à l’oeil nu.
CNRSN° d'inventaire | 23738 |
Format | 17 x 21 |
Détails | 150 p., broché. |
Publication | Paris, 2021 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782271132215 |
Réfractaires, insoumis, autochtones… les Gaulois occupent toujours une immense place dans l’imaginaire français.
Depuis l’Antiquité, ces peuples soi-disant « nés de notre terre » sont parés de toutes les vertus ou raillés pour leur barbarie, victimes de toutes les caricatures. Mais qu’y a-t-il vraiment derrière Brennus, Vercingétorix ou même Astérix et Obélix ?
Dans ce nouvel opus de la série « À l’œil nu », Dominique Garcia et Jeremy Perrodeau dépouillent les Gaulois de leurs oripeaux pour en dresser un portrait documenté, vivant et malicieux. Grâce à l’archéologie et à l’histoire, ils nous entraînent à travers les forêts défrichées, les sanctuaires et les cités, sur les traces de peuples captivants. Pasteurs, cultivateurs, orpailleurs, nos Gaulois sont aussi citadins, commerçants et artisans. Sur la « terre du couchant », comme les Grecs la nommaient, ils vivent, échangent, créent avec tous les peuples de l’espace européen. Les découvertes des trente dernières années valent bien un nouveau tour de Gaule, le voici.
Réfractaires, insoumis, autochtones… les Gaulois occupent toujours une immense place dans l’imaginaire français.
Depuis l’Antiquité, ces peuples soi-disant « nés de notre terre » sont parés de toutes les vertus ou raillés pour leur barbarie, victimes de toutes les caricatures. Mais qu’y a-t-il vraiment derrière Brennus, Vercingétorix ou même Astérix et Obélix ?
Dans ce nouvel opus de la série « À l’œil nu », Dominique Garcia et Jeremy Perrodeau dépouillent les Gaulois de leurs oripeaux pour en dresser un portrait documenté, vivant et malicieux. Grâce à l’archéologie et à l’histoire, ils nous entraînent à travers les forêts défrichées, les sanctuaires et les cités, sur les traces de peuples captivants. Pasteurs, cultivateurs, orpailleurs, nos Gaulois sont aussi citadins, commerçants et artisans. Sur la « terre du couchant », comme les Grecs la nommaient, ils vivent, échangent, créent avec tous les peuples de l’espace européen. Les découvertes des trente dernières années valent bien un nouveau tour de Gaule, le voici.