STONE Christopher.
Les arbres doivent-ils pouvoir plaider ? Préface de Marine Calmet et postface de Catherine Larrère.
le passager clandestin
Prix régulier
€15,00
N° d'inventaire | 25621 |
Format | 12,5 x 18 |
Détails | 192 p., broché. |
Publication | Paris, 2022 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782369355205 |
Au cours des dernières années, la Nouvelle-Zélande et l’Inde ont accordé la personnalité juridique à trois fleuves, tandis que la nouvelle Constitution de l’Équateur a fait de la nature un sujet de droit. Révolutionnaires, ces mesures doivent beaucoup à un homme, Christopher Stone. En 1972, pour contrer un projet de la Walt Disney Company qui menaçait une forêt de séquoias, ce juriste proposa d’accorder des droits aux arbres.
Avec ce texte, il contribua de façon décisive à la prise de conscience de la valeur intrinsèque de la nature. L’originalité de sa position tient à son caractère juridique : en conférant à la nature le droit de se défendre en justice par l’intermédiaire de représentants, il ouvre la voie au primat de sa préservation sur le pur calcul économique.
Catherine Larrère, philosophe et Marine Calmet, juriste et militante, montrent combien ce texte pionnier renouvelle notre relation à la nature et au vivant. Vers une nature qui se défend !
Avec ce texte, il contribua de façon décisive à la prise de conscience de la valeur intrinsèque de la nature. L’originalité de sa position tient à son caractère juridique : en conférant à la nature le droit de se défendre en justice par l’intermédiaire de représentants, il ouvre la voie au primat de sa préservation sur le pur calcul économique.
Catherine Larrère, philosophe et Marine Calmet, juriste et militante, montrent combien ce texte pionnier renouvelle notre relation à la nature et au vivant. Vers une nature qui se défend !
Avec ce texte, il contribua de façon décisive à la prise de conscience de la valeur intrinsèque de la nature. L’originalité de sa position tient à son caractère juridique : en conférant à la nature le droit de se défendre en justice par l’intermédiaire de représentants, il ouvre la voie au primat de sa préservation sur le pur calcul économique.
Catherine Larrère, philosophe et Marine Calmet, juriste et militante, montrent combien ce texte pionnier renouvelle notre relation à la nature et au vivant. Vers une nature qui se défend !