L'encre en mouvement. Une histoire de la peinture chinoise au XXe siècle.
Paris musées, musée CernuschiN° d'inventaire | 26207 |
Format | 21 x 30 |
Détails | 256 p., nombreuses illustrations, broché. |
Publication | Paris 2022 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782759605378 |
Cet ouvrage retrace l’histoire de la peinture chinoise au xxe siècle à travers un parcours chrono-thématique. Issue des arts lettrés que sont la calligraphie ou la gravure de sceaux, se définissant par l’usage de l’encre, du papier et de la soie, la peinture chinoise du début du siècle se réinvente bientôt. En écho aux mutations politiques et sociales (de la fin de l’empire en 1911 à la république populaire de 1949), elle connaît de profondes transformations en se confrontant aux pratiques occidentales, comme la peinture à l’huile ou le dessin.
Les peintres chinois se tournent notamment vers le Japon et la France pendant la première moitié du siècle, puis vers l’union soviétique dans les années 1950. À partir des années 1980, les échanges, auxquels contribuent les artistes de la diaspora, s’étendent de l’Asie à l’Amérique, sans oublier l’Europe. Tout au long du siècle, le débat artistique, qui embrasse les questions d’une peinture nationale, de l’engagement politique, du réalisme ou de l’abstraction, sera marqué par ce dialogue interculturel.
D’une grande richesse iconographique – la collection du musée Cernuschi est une des rares à conserver aussi bien les peintures d’artistes actifs en Chine que celles des grandes figures de la diaspora – cet ouvrage permet d’appréhender un siècle de mouvements et de création artistiques sans précédent.
Cet ouvrage retrace l’histoire de la peinture chinoise au xxe siècle à travers un parcours chrono-thématique. Issue des arts lettrés que sont la calligraphie ou la gravure de sceaux, se définissant par l’usage de l’encre, du papier et de la soie, la peinture chinoise du début du siècle se réinvente bientôt. En écho aux mutations politiques et sociales (de la fin de l’empire en 1911 à la république populaire de 1949), elle connaît de profondes transformations en se confrontant aux pratiques occidentales, comme la peinture à l’huile ou le dessin.
Les peintres chinois se tournent notamment vers le Japon et la France pendant la première moitié du siècle, puis vers l’union soviétique dans les années 1950. À partir des années 1980, les échanges, auxquels contribuent les artistes de la diaspora, s’étendent de l’Asie à l’Amérique, sans oublier l’Europe. Tout au long du siècle, le débat artistique, qui embrasse les questions d’une peinture nationale, de l’engagement politique, du réalisme ou de l’abstraction, sera marqué par ce dialogue interculturel.
D’une grande richesse iconographique – la collection du musée Cernuschi est une des rares à conserver aussi bien les peintures d’artistes actifs en Chine que celles des grandes figures de la diaspora – cet ouvrage permet d’appréhender un siècle de mouvements et de création artistiques sans précédent.