Le Trait, le taillis, les aguets. Louis Pons, le dessins de 1947 à 1970.
L'Atelier Contemporain| N° d'inventaire | 23319 |
| Format | 16 x 20 |
| Détails | 128 p., broché. |
| Publication | Strasbourg, 2021 |
| Etat | Neuf |
| ISBN | 9782850350108 |
Nous entendons par singulier un artiste dont 1'oeuvre n'est jamais recadrée par un courant esthétique dominant. Un singulier ne compte que sur ses propres forces ou faiblesses. II est à la recherche d'une «expression primordiale «, selon les mots d'Henri Michaux, quel que soit son niveau de savoir. Pour le singulier, tout ce qui ressort du débat esthétique passe au second plan : sa pratique est un outil d'exploration personnelle. Trop cultivé pour être hors culture, mais n'y croyant pas, trop à 1'intérieur de la zone frontière pour être considérée comme borderline, trop dans 1'idiosyncrasie pour donner naissance à un courant, enfin, en plus, ce qui n'est vraiment pas médiatique, trop suspicieux pour donner à manger aux légendes spectaculaires de la malédiction comme de la marginalité, le singulier est le bâton merdeux des gens avides de formules.
Nous entendons par singulier un artiste dont 1'oeuvre n'est jamais recadrée par un courant esthétique dominant. Un singulier ne compte que sur ses propres forces ou faiblesses. II est à la recherche d'une «expression primordiale «, selon les mots d'Henri Michaux, quel que soit son niveau de savoir. Pour le singulier, tout ce qui ressort du débat esthétique passe au second plan : sa pratique est un outil d'exploration personnelle. Trop cultivé pour être hors culture, mais n'y croyant pas, trop à 1'intérieur de la zone frontière pour être considérée comme borderline, trop dans 1'idiosyncrasie pour donner naissance à un courant, enfin, en plus, ce qui n'est vraiment pas médiatique, trop suspicieux pour donner à manger aux légendes spectaculaires de la malédiction comme de la marginalité, le singulier est le bâton merdeux des gens avides de formules.