Le Sanctuaire osirien de Douch. Travaux de l'Ifao dans le secteur du temple en pierre (1976-1994). DFIFAO 51.
IFAON° d'inventaire | 23049 |
Format | 24,5 x 33 |
Détails | 304 p., cartonnage éditeur. |
Publication | Le Caire, 2020 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782724707328 |
Le site de Douch n’avait jamais été fouillé lorsque Serge Sauneron, directeur de l’IFAO, y engagea des travaux en 1976, afin de désensabler le secteur du temple du Haut-Empire romain. Avant d’atteindre ses sols dallés, les fouilles ont mis au jour plusieurs niveaux d’occupation du Bas-Empire. Ces campagnes et les suivantes, jusqu’en 1994, ont révélé l’existence d’édifices antérieurs à l’époque romaine comme, sous le temple, un sanctuaire ptolémaïque en brique, ainsi que d’autres édifices encore plus anciens, remontant à l’époque perse ou même au-delà. L’historique des travaux archéologiques est suivi par six chapitres sur l’architecture des édifices du secteur : les enceintes et leurs portes, les cours et leurs aménagements, le temple et son porche à colonnes, la chapelle adossée liée à une faille du terrain, probablement lieu de culte primitif. Le texte est abondamment illustré par des relevés en plans, coupes et élévations. L’examen de détails de construction a permis d’établir la succession chronologique des édifices, d’expliquer des anomalies ou de restituer des parties détruites. La datation des principaux édifices en brique et de leurs remaniements est due à Michel Wuttmann qui, de 2007 à 2011, a fait prélever et analyser par radiocarbone des végétaux extraits des murs. Ces nouveaux repères chronologiques autorisent à proposer, dans le dernier chapitre, des restitutions en plan et en perspective des états successifs du sanctuaire, de l’époque perse au Bas-Empire romain.
Le site de Douch n’avait jamais été fouillé lorsque Serge Sauneron, directeur de l’IFAO, y engagea des travaux en 1976, afin de désensabler le secteur du temple du Haut-Empire romain. Avant d’atteindre ses sols dallés, les fouilles ont mis au jour plusieurs niveaux d’occupation du Bas-Empire. Ces campagnes et les suivantes, jusqu’en 1994, ont révélé l’existence d’édifices antérieurs à l’époque romaine comme, sous le temple, un sanctuaire ptolémaïque en brique, ainsi que d’autres édifices encore plus anciens, remontant à l’époque perse ou même au-delà. L’historique des travaux archéologiques est suivi par six chapitres sur l’architecture des édifices du secteur : les enceintes et leurs portes, les cours et leurs aménagements, le temple et son porche à colonnes, la chapelle adossée liée à une faille du terrain, probablement lieu de culte primitif. Le texte est abondamment illustré par des relevés en plans, coupes et élévations. L’examen de détails de construction a permis d’établir la succession chronologique des édifices, d’expliquer des anomalies ou de restituer des parties détruites. La datation des principaux édifices en brique et de leurs remaniements est due à Michel Wuttmann qui, de 2007 à 2011, a fait prélever et analyser par radiocarbone des végétaux extraits des murs. Ces nouveaux repères chronologiques autorisent à proposer, dans le dernier chapitre, des restitutions en plan et en perspective des états successifs du sanctuaire, de l’époque perse au Bas-Empire romain.