Le musée sentimental d'Eva Aeppli.
Catalogue publié à l'occasion de l'exposition "Le musée sentimental d'Eva Aeppli", présentée du 7 mai au 14 novembre 2022 au Centre Pompidou - Metz.

Le musée sentimental d'Eva Aeppli.

Centre Pompidou - Metz
Prix régulier €40,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 25719
Format 24, 5 x 33
Détails 200 p., richement illustré, reliure carton.
Publication Metz, 2022
Etat Neuf
ISBN 9782359830699

Cette première rétrospective consacrée en France à Eva Aeppli invite à découvrir la gestation de son œuvre cousu, où s’exprime l’apogée de son art. Dans son « musée sentimental », à l’instar de celui créé par Daniel Spoerri au Centre Pompidou en 1977, ses œuvres dialoguent avec celles de son cercle proche, de ses influences fantasmées mais aussi de ses successeurs. On y croise les créations de Jean Tinguely, Niki de Saint Phalle, Louise Bourgeois, Annette Messager ou encore Sarah Lucas, soulignant combien l’art de la sculptrice suisse continue d’exercer une influence sensible sur la scène contemporaine. Chacune de ses figures textiles – saisissantes par leurs cris silencieux, leurs traits épurés et pourtant éminemment expressifs, leurs cicatrices dessinées par les coutures – submerge le regardeur de sentiments ambivalents, cette confrontation ne le laissant pas indemne. Mis en scène par Jean Kalman, le parcours se fera l’écho des dualités qui traversent l’œuvre et la vie de l’artiste.

Cette première rétrospective consacrée en France à Eva Aeppli invite à découvrir la gestation de son œuvre cousu, où s’exprime l’apogée de son art. Dans son « musée sentimental », à l’instar de celui créé par Daniel Spoerri au Centre Pompidou en 1977, ses œuvres dialoguent avec celles de son cercle proche, de ses influences fantasmées mais aussi de ses successeurs. On y croise les créations de Jean Tinguely, Niki de Saint Phalle, Louise Bourgeois, Annette Messager ou encore Sarah Lucas, soulignant combien l’art de la sculptrice suisse continue d’exercer une influence sensible sur la scène contemporaine. Chacune de ses figures textiles – saisissantes par leurs cris silencieux, leurs traits épurés et pourtant éminemment expressifs, leurs cicatrices dessinées par les coutures – submerge le regardeur de sentiments ambivalents, cette confrontation ne le laissant pas indemne. Mis en scène par Jean Kalman, le parcours se fera l’écho des dualités qui traversent l’œuvre et la vie de l’artiste.