Le musée sentimental d'Eva Aeppli.
Centre Pompidou - MetzN° d'inventaire | 25719 |
Format | 24, 5 x 33 |
Détails | 200 p., richement illustré, reliure carton. |
Publication | Metz, 2022 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782359830699 |
Cette première rétrospective consacrée en France à Eva Aeppli invite à découvrir la gestation de son œuvre cousu, où s’exprime l’apogée de son art. Dans son « musée sentimental », à l’instar de celui créé par Daniel Spoerri au Centre Pompidou en 1977, ses œuvres dialoguent avec celles de son cercle proche, de ses influences fantasmées mais aussi de ses successeurs. On y croise les créations de Jean Tinguely, Niki de Saint Phalle, Louise Bourgeois, Annette Messager ou encore Sarah Lucas, soulignant combien l’art de la sculptrice suisse continue d’exercer une influence sensible sur la scène contemporaine. Chacune de ses figures textiles – saisissantes par leurs cris silencieux, leurs traits épurés et pourtant éminemment expressifs, leurs cicatrices dessinées par les coutures – submerge le regardeur de sentiments ambivalents, cette confrontation ne le laissant pas indemne. Mis en scène par Jean Kalman, le parcours se fera l’écho des dualités qui traversent l’œuvre et la vie de l’artiste.
Cette première rétrospective consacrée en France à Eva Aeppli invite à découvrir la gestation de son œuvre cousu, où s’exprime l’apogée de son art. Dans son « musée sentimental », à l’instar de celui créé par Daniel Spoerri au Centre Pompidou en 1977, ses œuvres dialoguent avec celles de son cercle proche, de ses influences fantasmées mais aussi de ses successeurs. On y croise les créations de Jean Tinguely, Niki de Saint Phalle, Louise Bourgeois, Annette Messager ou encore Sarah Lucas, soulignant combien l’art de la sculptrice suisse continue d’exercer une influence sensible sur la scène contemporaine. Chacune de ses figures textiles – saisissantes par leurs cris silencieux, leurs traits épurés et pourtant éminemment expressifs, leurs cicatrices dessinées par les coutures – submerge le regardeur de sentiments ambivalents, cette confrontation ne le laissant pas indemne. Mis en scène par Jean Kalman, le parcours se fera l’écho des dualités qui traversent l’œuvre et la vie de l’artiste.