Le maître du roman de la rose de Vienne.
SilvanaEditorialeN° d'inventaire | 25736 |
Format | 23 x 28 |
Détails | 184 p., nombreuses illustrations, broché. |
Publication | Milan, 2022 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9788836648894 |
Responsable d’une trentaine de manuscrits produits entre 1425 et 1465 environ, le Maître du Roman de la Rose de Vienne est un important enlumineur, actif à Lyon et identifié de manière vraisemblable à Jean Hortart, dit d’Ecosse. Apprécié comme illustrateur de textes profanes, il se caractérise par un langage élégant qui, à mi-chemin entre le gothique international et l’ars nova, exerce un impact profond sur la production locale. Le livre qui lui est consacré se donne comme objectif de réfléchir sur le foyer lyonnais comme centre de production de manuscrits enluminés avant l’implantation de l’imprimerie (1473) et sur son rôle dans la dynamique des échanges culturels avec des foyers tels qu’Avignon, Genève, Chalon-sur-Saône ou encore Dijon. Il constitue le quatrième volume de la série éditoriale des Ressuscités de l’histoire de l’art qui, articulée sur le programme genevois Peindre en France à la Renaissance, vise à faire connaître des peintres de premier plan récemment redécouverts grâce au connoisseurship.
Responsable d’une trentaine de manuscrits produits entre 1425 et 1465 environ, le Maître du Roman de la Rose de Vienne est un important enlumineur, actif à Lyon et identifié de manière vraisemblable à Jean Hortart, dit d’Ecosse. Apprécié comme illustrateur de textes profanes, il se caractérise par un langage élégant qui, à mi-chemin entre le gothique international et l’ars nova, exerce un impact profond sur la production locale. Le livre qui lui est consacré se donne comme objectif de réfléchir sur le foyer lyonnais comme centre de production de manuscrits enluminés avant l’implantation de l’imprimerie (1473) et sur son rôle dans la dynamique des échanges culturels avec des foyers tels qu’Avignon, Genève, Chalon-sur-Saône ou encore Dijon. Il constitue le quatrième volume de la série éditoriale des Ressuscités de l’histoire de l’art qui, articulée sur le programme genevois Peindre en France à la Renaissance, vise à faire connaître des peintres de premier plan récemment redécouverts grâce au connoisseurship.