Le Livre du Hakutaku. Histoires de monstres japonais.
NuinuiN° d'inventaire | 22838 |
Format | 19,5 x 27 |
Détails | 228 p., nombreuses illustrations, broché. |
Publication | ChermigFALSE, 2020 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782889357574 |
Ce livre contient une vaste gamme de monstres et de fantômes, certains originaires du Japon, d'autres issus de cultures étrangères et incorporés dans le folklore nippon. Si l'on en croit la légende, un vieil empereur reçut en cadeau d'un animal magique appelé, justement, Hakutaku, un ouvrage extraordinaire, une sorte de « bestiaire des monstres « renfermant des informations sur tous les esprits, fantômes, divinités et démons du Japon. Disparu il y a très longtemps, ce livre n'aurait subsisté que sous forme fragmentaire. Au fil des siècles, les artistes japonais élaborèrent des encyclopédies illustrées dédiées au monde des esprits (yôkai) et du surnaturel. Leurs principales sources étaient les récits et les traditions du folklore local, mais aussi l'histoire et la littérature ; et ils ne manquèrent pas non plus de puiser dans l'immense patrimoine des anciens classiques chinois, réinterprétés par le filtre de la culture et de la sensibilité japonaises. Ils inventèrent ainsi une foule de nouveaux yôkai ! Et aujourd'hui encore, l'habitude consistant à collectionner et à raconter de telles histoires s'avère très répandue au Japon.
Ce livre contient une vaste gamme de monstres et de fantômes, certains originaires du Japon, d'autres issus de cultures étrangères et incorporés dans le folklore nippon. Si l'on en croit la légende, un vieil empereur reçut en cadeau d'un animal magique appelé, justement, Hakutaku, un ouvrage extraordinaire, une sorte de « bestiaire des monstres « renfermant des informations sur tous les esprits, fantômes, divinités et démons du Japon. Disparu il y a très longtemps, ce livre n'aurait subsisté que sous forme fragmentaire. Au fil des siècles, les artistes japonais élaborèrent des encyclopédies illustrées dédiées au monde des esprits (yôkai) et du surnaturel. Leurs principales sources étaient les récits et les traditions du folklore local, mais aussi l'histoire et la littérature ; et ils ne manquèrent pas non plus de puiser dans l'immense patrimoine des anciens classiques chinois, réinterprétés par le filtre de la culture et de la sensibilité japonaises. Ils inventèrent ainsi une foule de nouveaux yôkai ! Et aujourd'hui encore, l'habitude consistant à collectionner et à raconter de telles histoires s'avère très répandue au Japon.