Le grand panorama de Lisbonne.
coll.

Le grand panorama de Lisbonne.

Chandeigne
Prix régulier €20,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 31178
Format 14,5 x 20,5
Détails 51 p., livre dépliant.
Publication Paris, 2024
Etat Neuf
ISBN 9782367322391

Le Grand panorama de Lisbonne, œuvre extraordinaire, l’une des plus importantes de la collection du musée national de l’Azulejo, est un document d’une richesse iconographique unique pour l’histoire de la ville de Lisbonne. Elle présente la vue la plus complète de la capitale, se déployant le long du Tage, avant le tremblement de terre qui la détruisit en 1755. La contemplation de cette œuvre permet d’admirer des bâtiments et des lieux qui ont résisté à la catastrophe, mais aussi d’en observer d’autres ayant disparu, images d’un monde dont la fragilité nous est rappelée.

Le château de Saint-Georges, le monastère de Saint-Vincent-hors-les-murs, le palais de la Ribeira, le monastère des Hiéronymites, la tour de Belém, sont certains des bâtiments les plus emblématiques de la ville représentés sur ce panneau, ils nous permettent ainsi de reconnaître instantanément la capitale du Portugal.

Cette œuvre a été attribuée à l’un des premiers maîtres de la céramique baroque, le peintre d’origine espagnole Gabriel del Barco. Le panneau, d’environ 23 mètres de long, représentant 14 km de côtes d’Algés à Xabregas, nous invite à découvrir – au-delà des palais, églises, couvents et habitations – l’atmosphère générale de la ville lisboète en ce début de xviiie siècle, des zones les plus densément peuplées jusqu’aux campagnes et environs d’Alcântara ou Belém. En prêtant attention, nous pouvons y deviner le mouvement de la ville, l’activité du marché de la Ribeira, le fonctionnement d’un moulin à marée, l’agitation des carrosses et des chaises à porteurs, tout un monde immortalisé en peinture sur céramique.

Le Grand panorama de Lisbonne, œuvre extraordinaire, l’une des plus importantes de la collection du musée national de l’Azulejo, est un document d’une richesse iconographique unique pour l’histoire de la ville de Lisbonne. Elle présente la vue la plus complète de la capitale, se déployant le long du Tage, avant le tremblement de terre qui la détruisit en 1755. La contemplation de cette œuvre permet d’admirer des bâtiments et des lieux qui ont résisté à la catastrophe, mais aussi d’en observer d’autres ayant disparu, images d’un monde dont la fragilité nous est rappelée.

Le château de Saint-Georges, le monastère de Saint-Vincent-hors-les-murs, le palais de la Ribeira, le monastère des Hiéronymites, la tour de Belém, sont certains des bâtiments les plus emblématiques de la ville représentés sur ce panneau, ils nous permettent ainsi de reconnaître instantanément la capitale du Portugal.

Cette œuvre a été attribuée à l’un des premiers maîtres de la céramique baroque, le peintre d’origine espagnole Gabriel del Barco. Le panneau, d’environ 23 mètres de long, représentant 14 km de côtes d’Algés à Xabregas, nous invite à découvrir – au-delà des palais, églises, couvents et habitations – l’atmosphère générale de la ville lisboète en ce début de xviiie siècle, des zones les plus densément peuplées jusqu’aux campagnes et environs d’Alcântara ou Belém. En prêtant attention, nous pouvons y deviner le mouvement de la ville, l’activité du marché de la Ribeira, le fonctionnement d’un moulin à marée, l’agitation des carrosses et des chaises à porteurs, tout un monde immortalisé en peinture sur céramique.