Le grand atlas des yeux baissés.
HUMEROSE Alan.

Le grand atlas des yeux baissés.

Infolio
Prix régulier €42,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 25486
Format 26 x 30
Détails 208 p., nombreuses illustrations couleur, cartonnage éditeur.
Publication 2022
Etat Neuf
ISBN 9782889680061
À partir de ce qui tombe sous nos yeux quand on marche dans les rues du monde, sous nos semelles, sur les trottoirs couverts de restes de peintures et de chewing-gum aplatis, sur les routes et les traces de pneus, sur les passages pour piétons ou les plaques d’égout en fonte, Alan Humerose a réalisé des photographies et des compositions photographiques faisant allusion au monde des Atlas, à toutes ces pages qui sont remplies d’images de l’univers, de cartes de géographies, de paysages, et qui sont autant d’invitations à découvrir comme à inventer le monde.
Faisant suite à L’Herbier Humerose et au Vertige des Réserves, ce troisième volet Humerose fait allusion au monde encyclopédique et continue d’explorer photographiquement non pas un sujet qu’il documenterait mais la lecture des images dans ce qu’elles offrent toujours d’ambivalence entre ce que l’on voit et ce que l’on croit voir.
Avec lui, nous y découvrons les trottoirs comme on feuillette un atlas, c
À partir de ce qui tombe sous nos yeux quand on marche dans les rues du monde, sous nos semelles, sur les trottoirs couverts de restes de peintures et de chewing-gum aplatis, sur les routes et les traces de pneus, sur les passages pour piétons ou les plaques d’égout en fonte, Alan Humerose a réalisé des photographies et des compositions photographiques faisant allusion au monde des Atlas, à toutes ces pages qui sont remplies d’images de l’univers, de cartes de géographies, de paysages, et qui sont autant d’invitations à découvrir comme à inventer le monde.
Faisant suite à L’Herbier Humerose et au Vertige des Réserves, ce troisième volet Humerose fait allusion au monde encyclopédique et continue d’explorer photographiquement non pas un sujet qu’il documenterait mais la lecture des images dans ce qu’elles offrent toujours d’ambivalence entre ce que l’on voit et ce que l’on croit voir.
Avec lui, nous y découvrons les trottoirs comme on feuillette un atlas, c