Le bonheur, dans la littérature et la peinture.
DETHURENS Pascal.

Le bonheur, dans la littérature et la peinture.

Hazan
Prix régulier €35,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 26070
Format 22 x 28
Détails 192 p., nombreuses illustrations couleur, broché.
Publication Paris, 2022
Etat Neuf
ISBN 9782754111539
« Je ne veux désormais collectionner que les moments de bonheur ». Qui n’a pas rêvé, comme Stendhal, d’atteindre cet état si rare, réputé indicible et considéré comme une idée subjective entre toutes ?
Si le bonheur est une création que notre culture a voulue, une croyance qu’elle a renouvelée maintes fois au cours de son histoire, cela ne veut pas dire qu’il soit une fiction. Sa redéfinition permanente atteste du désir tenace de le goûter, mais aussi, et surtout, du besoin d’en faire un horizon constant.

Quels sont les discours que l’Occident a tenus sur le bonheur, et quels sont les visages qu’il lui a prêtés en plus de vingt siècles ? Ce livre richement illustré nous invite à découvrir que, d’Epicure à Rousseau, de saint Matthieu à Dante, de Virgile à Nietzsche, mais aussi de Fra Angelico à Bonnard, de Bruegel à Matisse, de Monet à Chagall, ce désir a toujours été le nôtre.
« Je ne veux désormais collectionner que les moments de bonheur ». Qui n’a pas rêvé, comme Stendhal, d’atteindre cet état si rare, réputé indicible et considéré comme une idée subjective entre toutes ?
Si le bonheur est une création que notre culture a voulue, une croyance qu’elle a renouvelée maintes fois au cours de son histoire, cela ne veut pas dire qu’il soit une fiction. Sa redéfinition permanente atteste du désir tenace de le goûter, mais aussi, et surtout, du besoin d’en faire un horizon constant.

Quels sont les discours que l’Occident a tenus sur le bonheur, et quels sont les visages qu’il lui a prêtés en plus de vingt siècles ? Ce livre richement illustré nous invite à découvrir que, d’Epicure à Rousseau, de saint Matthieu à Dante, de Virgile à Nietzsche, mais aussi de Fra Angelico à Bonnard, de Bruegel à Matisse, de Monet à Chagall, ce désir a toujours été le nôtre.