Le Bestiaire extraordinaire de Kyôsai.
OIKAWA Shigeru.

Le Bestiaire extraordinaire de Kyôsai.

Editions Picquier
Prix régulier €32,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 25006
Format 21 x 27,5
Détails 200 p., nombreuses illustrations couleurs, cartonnage éditeur.
Publication Paris, 2021
Etat Neuf
ISBN 9782809715668
Kawanabe Kyôsai (1831-1889) est un artiste virtuose, considéré en son temps comme le successeur de Hokusai, qui réalisa en peu de temps une œuvre exceptionnelle et prolifique : plus de 1 000 estampes, près de 150 livres illustrés et albums, plus de 7 000 pages d’un journal où il croque sa vie au jour le jour, plus de 50 000 peintures et dessins. Parmi ses œuvres d’une exubérante fantaisie, ce sont les animaux qui occupent une place de choix. Plus vrais que nature, ils sont saisis en plein mouvement dans des scènes colorées et raffinées. Humanisés, ils servent le goût du peintre pour le comique et la satire, car Kyôsai est un remarquable observateur des ridicules de ses contemporains et n’hésite pas à caricaturer les puissants, ce qui lui valut de connaître la prison. Ses animaux acrobates, qui dansent ou vont à la noce, se métamorphosent parfois jusqu’au fantastique dans des farandoles endiablées. Et c’est grâce à l’un d’entre eux, le corbeau, que ce peintre extraordinaire devint le plus célèbre de son temps.
Kawanabe Kyôsai (1831-1889) est un artiste virtuose, considéré en son temps comme le successeur de Hokusai, qui réalisa en peu de temps une œuvre exceptionnelle et prolifique : plus de 1 000 estampes, près de 150 livres illustrés et albums, plus de 7 000 pages d’un journal où il croque sa vie au jour le jour, plus de 50 000 peintures et dessins. Parmi ses œuvres d’une exubérante fantaisie, ce sont les animaux qui occupent une place de choix. Plus vrais que nature, ils sont saisis en plein mouvement dans des scènes colorées et raffinées. Humanisés, ils servent le goût du peintre pour le comique et la satire, car Kyôsai est un remarquable observateur des ridicules de ses contemporains et n’hésite pas à caricaturer les puissants, ce qui lui valut de connaître la prison. Ses animaux acrobates, qui dansent ou vont à la noce, se métamorphosent parfois jusqu’au fantastique dans des farandoles endiablées. Et c’est grâce à l’un d’entre eux, le corbeau, que ce peintre extraordinaire devint le plus célèbre de son temps.