DIDI-HUBERMAN Georges.
L'album de l'art à l'époque du "Musée imaginaire".
Louvre éditions
Prix régulier
€40,00
N° d'inventaire | 25434 |
Format | 14 x 21 |
Détails | 208 p., broché. |
Publication | Paris, 2013 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782754106856 |
- Sur quels critères Malraux a t-il bâti ses associations d’œuvre de cultures différentes dans son « Musée imaginaire »? - Une question d’actualité à l’heure où les musées mêlent œuvres occidentales et arts primitifs ou arts contemporains et arts anciens dans une même présentation.
- Cycle de conférences de l’auteur à l’Auditorium du Louvre 16, 19, 23, 26, 30 septembre 2013, 19h. Georges Didi-Huberman, philosophe et historien de l'art, enseigne actuellement à l'École des hautes études en sciences sociales de Paris. Avec plus d'une trentaine de livres publiés depuis 1982, il est aujourd'hui l'un des théoriciens les plus actifs dans le paysage contemporain des recherches sur l'image. Les conférences de la Chaire du Louvre et le livre qui les accompagne concernent le Musée imaginaire d’André Malraux. Il s’agira d’interroger le travail d’André Malraux sur les illustrations de son Musée imaginaire, travail explicitement inspiré par le Benjamin de la « reproductibilité technique » et de « l’auteur comme producteur ». On étudiera l’ouverture du champ imaginaire que suppose, chez Malraux, la pratique du livre d’art en tant qu’album d’images soutenues par une sorte d’expressivité du cadre, de la lumière et du montage. On verra comment, dans cette pratique de montage, Malraux construit l’autorité de son style visuel et la clôture de son champ littéraire. On s’interrogera surtout – de façon critique – sur le destin anti-historique et anti-politique de son esthétique, qui finit donc bien loin de celle de Benjamin.
- Cycle de conférences de l’auteur à l’Auditorium du Louvre 16, 19, 23, 26, 30 septembre 2013, 19h. Georges Didi-Huberman, philosophe et historien de l'art, enseigne actuellement à l'École des hautes études en sciences sociales de Paris. Avec plus d'une trentaine de livres publiés depuis 1982, il est aujourd'hui l'un des théoriciens les plus actifs dans le paysage contemporain des recherches sur l'image. Les conférences de la Chaire du Louvre et le livre qui les accompagne concernent le Musée imaginaire d’André Malraux. Il s’agira d’interroger le travail d’André Malraux sur les illustrations de son Musée imaginaire, travail explicitement inspiré par le Benjamin de la « reproductibilité technique » et de « l’auteur comme producteur ». On étudiera l’ouverture du champ imaginaire que suppose, chez Malraux, la pratique du livre d’art en tant qu’album d’images soutenues par une sorte d’expressivité du cadre, de la lumière et du montage. On verra comment, dans cette pratique de montage, Malraux construit l’autorité de son style visuel et la clôture de son champ littéraire. On s’interrogera surtout – de façon critique – sur le destin anti-historique et anti-politique de son esthétique, qui finit donc bien loin de celle de Benjamin.
- Cycle de conférences de l’auteur à l’Auditorium du Louvre 16, 19, 23, 26, 30 septembre 2013, 19h. Georges Didi-Huberman, philosophe et historien de l'art, enseigne actuellement à l'École des hautes études en sciences sociales de Paris. Avec plus d'une trentaine de livres publiés depuis 1982, il est aujourd'hui l'un des théoriciens les plus actifs dans le paysage contemporain des recherches sur l'image. Les conférences de la Chaire du Louvre et le livre qui les accompagne concernent le Musée imaginaire d’André Malraux. Il s’agira d’interroger le travail d’André Malraux sur les illustrations de son Musée imaginaire, travail explicitement inspiré par le Benjamin de la « reproductibilité technique » et de « l’auteur comme producteur ». On étudiera l’ouverture du champ imaginaire que suppose, chez Malraux, la pratique du livre d’art en tant qu’album d’images soutenues par une sorte d’expressivité du cadre, de la lumière et du montage. On verra comment, dans cette pratique de montage, Malraux construit l’autorité de son style visuel et la clôture de son champ littéraire. On s’interrogera surtout – de façon critique – sur le destin anti-historique et anti-politique de son esthétique, qui finit donc bien loin de celle de Benjamin.