La vie quotidienne au Moyen Age.
PerrinN° d'inventaire | 23033 |
Format | 11 x 17,5 |
Détails | 381 p., broché. |
Publication | Paris, 2020 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782262075910 |
Une vision d'ensemble de la vie des hommes et des femmes du Moyen Age, des invasions barbares à la Renaissance. Entre « Naître « et « Mourir «, les vingt-deux chapitres de ce livre – appelé à devenir un classique – scandent l'existence des hommes et des femmes du Moyen- ge. L'on découvre ainsi qu'on ne se marie pas par amour et que les futurs époux, surtout la femme, n'ont pas leur mot à dire. La sexualité tient pourtant une place importante au sein du couple et certains textes, connus des milieux cultivés, attestent même l'existence d'un art érotique. L'éducation, quant à elle, est décrite à la fois sur le plan religieux, pratique et intellectuel, et les anecdotes décrivent de façon plaisante la vie des étudiants dont Villon est l'un des représentants les moins recommandables. Les quantités de nourriture et de vin exagérées – aspects essentiels du quotidien – impressionnent assurément nos contemporains fervents de diététique, de même que la vie de ceux qui prient, qui combattent et qui travaillent, ces paysans qui sont l'essentiel de la population. La religion, naturellement, structure cette société et impose à tout homme de préparer sa mort – ce qui n'empêche pas de profiter des instants de loisir bien plus fréquents qu'on ne l'imagine. Jean Verdon brosse avec maestra un panorama sans équivalent, riche et foisonnant.
Une vision d'ensemble de la vie des hommes et des femmes du Moyen Age, des invasions barbares à la Renaissance. Entre « Naître « et « Mourir «, les vingt-deux chapitres de ce livre – appelé à devenir un classique – scandent l'existence des hommes et des femmes du Moyen- ge. L'on découvre ainsi qu'on ne se marie pas par amour et que les futurs époux, surtout la femme, n'ont pas leur mot à dire. La sexualité tient pourtant une place importante au sein du couple et certains textes, connus des milieux cultivés, attestent même l'existence d'un art érotique. L'éducation, quant à elle, est décrite à la fois sur le plan religieux, pratique et intellectuel, et les anecdotes décrivent de façon plaisante la vie des étudiants dont Villon est l'un des représentants les moins recommandables. Les quantités de nourriture et de vin exagérées – aspects essentiels du quotidien – impressionnent assurément nos contemporains fervents de diététique, de même que la vie de ceux qui prient, qui combattent et qui travaillent, ces paysans qui sont l'essentiel de la population. La religion, naturellement, structure cette société et impose à tout homme de préparer sa mort – ce qui n'empêche pas de profiter des instants de loisir bien plus fréquents qu'on ne l'imagine. Jean Verdon brosse avec maestra un panorama sans équivalent, riche et foisonnant.