La statuaire des Bari du Haut Nil.
Five ContinentsN° d'inventaire | 26960 |
Format | 22,5 x 28,5 |
Détails | 124 p., illustrations couleur, cartonnage éditeur. |
Publication | Milan, 2022 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9788874399673 |
Unique en son genre, ce volume entend être une référence pour le lecteur – érudit, passionné ou simple curieux – en matière de statuaire bari. La majeure partie de celle qui nous est connue est aujourd’hui conservée dans des institutions muséales internationales ; aussi, des soixante-quatre pièces présentées dans cet ouvrage, seules six appartiennent à des collectionneurs particuliers. Ces statuettes en bois, qui ne mesurent pas plus de cinquante centimètres de haut, n’étaient pas des idoles vénérées par leurs propriétaires, mais avaient – selon toute probabilité – une fonction comparable à celle d’esprits tutélaires de la maison et de la famille.
Jean-Baptiste Sevette, l’un des rares spécialistes de la culture matérielle du Soudan, Dominik Remondino, historien de l’art spécialisé en cultures africaines, et Bertrand Goy, fin connaisseur de l’histoire des arts premiers et auteur de l’introduction, dressent un état de l’art de ces objets. Non seulement ils approfondissent les aspects relatifs à la culture matérielle et aux particularités de cette production artistique, mais ils fournissent un vaste panorama des expéditions égyptiennes au Soudan, de la fondation de Khartoum en 1821 et des premiers contacts noués entre les Occidentaux et la population bari, non sans définir les figures clés des collections naissantes d’objets ethnographiques soudanais.
Unique en son genre, ce volume entend être une référence pour le lecteur – érudit, passionné ou simple curieux – en matière de statuaire bari. La majeure partie de celle qui nous est connue est aujourd’hui conservée dans des institutions muséales internationales ; aussi, des soixante-quatre pièces présentées dans cet ouvrage, seules six appartiennent à des collectionneurs particuliers. Ces statuettes en bois, qui ne mesurent pas plus de cinquante centimètres de haut, n’étaient pas des idoles vénérées par leurs propriétaires, mais avaient – selon toute probabilité – une fonction comparable à celle d’esprits tutélaires de la maison et de la famille.
Jean-Baptiste Sevette, l’un des rares spécialistes de la culture matérielle du Soudan, Dominik Remondino, historien de l’art spécialisé en cultures africaines, et Bertrand Goy, fin connaisseur de l’histoire des arts premiers et auteur de l’introduction, dressent un état de l’art de ces objets. Non seulement ils approfondissent les aspects relatifs à la culture matérielle et aux particularités de cette production artistique, mais ils fournissent un vaste panorama des expéditions égyptiennes au Soudan, de la fondation de Khartoum en 1821 et des premiers contacts noués entre les Occidentaux et la population bari, non sans définir les figures clés des collections naissantes d’objets ethnographiques soudanais.