La Ruine de la civilisation antique.
ZYLBERSTEIN Jean-Claude.

La Ruine de la civilisation antique.

Belles Lettres
Prix régulier €13,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 22398
Format 12,5 x 19
Détails 250 p., broché.
Publication Paris, 2020
Etat Neuf
ISBN 9782251450483

Dans La Ruine de la civilisation antique, publié après la Première Guerre mondiale, le grand historien et intellectuel italien Guglielmo Ferrero conduit son lecteur à prendre du recul vis-à-vis de l’histoire contemporaine par une relecture en profondeur de la Rome antique, au moment de sa chute. Par ce détour, Ferrero analyse les mécanismes politiques et culturels à l’oeuvre dans le temps long d’une histoire politique occidentale qui est avant tout celle de la civilisation européenne. Cet usage de l’histoire comme d’une lanterne éclairant le temps présent n’a rien perdu de son actualité et de sa finesse. Relire Ferrero aujourd’hui dans la crise que nous traversons, c’est écouter un européen convaincu, qui écrivait déjà que l’Europe se sauverait ou périrait tout entière et que, dans la bascule entre ces deux avenirs, la question de la forme des régimes politiques et de leur sincérité au regard des principes européens n’est pas anecdotique mais centrale.

Dans La Ruine de la civilisation antique, publié après la Première Guerre mondiale, le grand historien et intellectuel italien Guglielmo Ferrero conduit son lecteur à prendre du recul vis-à-vis de l’histoire contemporaine par une relecture en profondeur de la Rome antique, au moment de sa chute. Par ce détour, Ferrero analyse les mécanismes politiques et culturels à l’oeuvre dans le temps long d’une histoire politique occidentale qui est avant tout celle de la civilisation européenne. Cet usage de l’histoire comme d’une lanterne éclairant le temps présent n’a rien perdu de son actualité et de sa finesse. Relire Ferrero aujourd’hui dans la crise que nous traversons, c’est écouter un européen convaincu, qui écrivait déjà que l’Europe se sauverait ou périrait tout entière et que, dans la bascule entre ces deux avenirs, la question de la forme des régimes politiques et de leur sincérité au regard des principes européens n’est pas anecdotique mais centrale.