La Pointe et l'ombre. Dessins nordiques du musée de Grenoble XVIe-XVIIIe siècle.
SomogyN° d'inventaire | 17980 |
Format | 22,2 x 28 |
Détails | 262 p., illustrations couleur, broché à rabats. |
Publication | Paris, 2014 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782757207758 |
Troisième et dernier volet du triptyque dédié à l’étude des collections de dessins anciens du musée de Grenoble, après deux ouvrages consacrés respectivement à l’Italie et à la France, ce catalogue s’attache au fonds des écoles nordiques, feuilles hollandaises, flamandes et allemandes, issues en majeure partie du legs Mesnard. Ces cent vingt feuilles, s’échelonnant du XVIe au XVIIIe siècle, sont majoritairement hollandaises et font une large place au paysage national, vastes panoramas, marines ou vues fluviales, comme aux vues de sites italiens que les artistes ont rapportées de leurs voyages. La figure de Rembrandt domine le siècle et son influence est manifeste sur toute une génération d’élèves et de collaborateurs, parmi lesquels on peut citer Ferdinand Bol. Quant à Bloemaert, il est le maître de tout un groupe d’artistes à Utrecht, dont Gerrit van Honthorst, lequel vient rappeler que l’on peut vivre en terre protestante tout en continuant à travailler pour l’Église catholique. L’école flamande est magistralement représentée par quatre feuilles de Jordaens, auxquelles s’ajoutent quelques paysages et scènes de genre. Enfin, l’école allemande montre certaines feuilles de l’école d’Augsbourg, dues au talent de Freisinger, Rugendas ou Ridinger. Fruit d’un important travail de recherche scientifique, cet ouvrage vient révéler les richesses du fonds grenoblois, restées inexplorées depuis des décennies.
Troisième et dernier volet du triptyque dédié à l’étude des collections de dessins anciens du musée de Grenoble, après deux ouvrages consacrés respectivement à l’Italie et à la France, ce catalogue s’attache au fonds des écoles nordiques, feuilles hollandaises, flamandes et allemandes, issues en majeure partie du legs Mesnard. Ces cent vingt feuilles, s’échelonnant du XVIe au XVIIIe siècle, sont majoritairement hollandaises et font une large place au paysage national, vastes panoramas, marines ou vues fluviales, comme aux vues de sites italiens que les artistes ont rapportées de leurs voyages. La figure de Rembrandt domine le siècle et son influence est manifeste sur toute une génération d’élèves et de collaborateurs, parmi lesquels on peut citer Ferdinand Bol. Quant à Bloemaert, il est le maître de tout un groupe d’artistes à Utrecht, dont Gerrit van Honthorst, lequel vient rappeler que l’on peut vivre en terre protestante tout en continuant à travailler pour l’Église catholique. L’école flamande est magistralement représentée par quatre feuilles de Jordaens, auxquelles s’ajoutent quelques paysages et scènes de genre. Enfin, l’école allemande montre certaines feuilles de l’école d’Augsbourg, dues au talent de Freisinger, Rugendas ou Ridinger. Fruit d’un important travail de recherche scientifique, cet ouvrage vient révéler les richesses du fonds grenoblois, restées inexplorées depuis des décennies.