La peinture et le cri, de Botticelli à Francis Bacon.
THÉLOT JÉRÔME.

La peinture et le cri, de Botticelli à Francis Bacon.

L'ATELIER CONTEMPORAIN.
Prix régulier €25,00 €0,00 Prix unitaire par
N° d'inventaire 25130
Format 160 x 200 mm
Détails 184 p., Broché.
Publication PARIS, 2021
Etat NEUF
ISBN 9782850350603

Ce livre en neuf chapitre une vingtaine de tableaux majeurs de la peintures européenne, chacun éclairant chaque autre, du XVème au XXème. De Pollaiolo à Bacon, en passant par Bottecelli, RaphaëL Caravage, sculpture de Mason, le développement chronologique élucide en son centre la pensée de Winckelmann et de Lessing, prohibition explicite de la figuration du cri. Il s'ensuit une conjecture sur l'origine de la peinture, dont la vérité peu à peu à conquise s'énonce comme suit : L'origine de la peinture gît dans la violence, l'image provient d'un cri. 

 

Une histoire inouïe alors. D'abord rare, de loin en loin figuré oar d'audacieux maîtres, le cri en peinture décèle si ouvertement le fondement sacrificiel de toute représentation que sa proscription théorique à l'âge des lumières n'a pas empêché son adoption élective par maints peintres "modernes". Or cette exhibition du refoulé, où se montrent ensemble la puissance imageante de la violence et la puissance critique du cri, justifie la peinture comme conscience de soi. 

Ce livre en neuf chapitre une vingtaine de tableaux majeurs de la peintures européenne, chacun éclairant chaque autre, du XVème au XXème. De Pollaiolo à Bacon, en passant par Bottecelli, RaphaëL Caravage, sculpture de Mason, le développement chronologique élucide en son centre la pensée de Winckelmann et de Lessing, prohibition explicite de la figuration du cri. Il s'ensuit une conjecture sur l'origine de la peinture, dont la vérité peu à peu à conquise s'énonce comme suit : L'origine de la peinture gît dans la violence, l'image provient d'un cri. 

 

Une histoire inouïe alors. D'abord rare, de loin en loin figuré oar d'audacieux maîtres, le cri en peinture décèle si ouvertement le fondement sacrificiel de toute représentation que sa proscription théorique à l'âge des lumières n'a pas empêché son adoption élective par maints peintres "modernes". Or cette exhibition du refoulé, où se montrent ensemble la puissance imageante de la violence et la puissance critique du cri, justifie la peinture comme conscience de soi.