La peinture doit se détruire pour se réinventer.
L'échoppeN° d'inventaire | 30133 |
Format | 15 x 21 |
Détails | 277 p., broché. |
Publication | Paris, 2023 |
Etat | Neuf |
ISBN | 9782840683384 |
« Quelle que soit la valeur des recherches d'aujourd'hui, elles ne peuvent que paraître salutaires - quels que soient les défauts, les exaspérations ou les erreurs, l'oeil d'aujourd'hui a changé - nul ne peut nier que ses besoins ne sont plus les mêmes, ils ont si complètement évolué qu'il semble ahurissant de penser qu'il y a vingt ans encore, les meilleurs des artistes étaient pleinement satisfaits et faisaient figure de novateurs avec des poissons noirs ou des arbres rouges, et qu'ils ne pouvaient peindre qu'en se plaçant devant le motif.
La peinture est une chose qui ne peut que se détruire, qui doit se détruire, pour se réinventer. »
Jean Fautrier
« Quelle que soit la valeur des recherches d'aujourd'hui, elles ne peuvent que paraître salutaires - quels que soient les défauts, les exaspérations ou les erreurs, l'oeil d'aujourd'hui a changé - nul ne peut nier que ses besoins ne sont plus les mêmes, ils ont si complètement évolué qu'il semble ahurissant de penser qu'il y a vingt ans encore, les meilleurs des artistes étaient pleinement satisfaits et faisaient figure de novateurs avec des poissons noirs ou des arbres rouges, et qu'ils ne pouvaient peindre qu'en se plaçant devant le motif.
La peinture est une chose qui ne peut que se détruire, qui doit se détruire, pour se réinventer. »
Jean Fautrier