La peinture à Dora.
L'échoppeN° d'inventaire | 31439 |
Format | 11,1 x 15,1 |
Détails | 22 p., relié. |
Publication | Paris, 1999 |
Etat | Neuf |
ISBN | |
Arrêté par la Gestapo et incarcéré au camp allemand de Dora en 1944, François Le Lionnais y continue les actes de résistance qu’il avait entrepris à Paris, notamment en sabotant le système de guidage de missiles V2 qu’il est chargé de construire. Mais Le Lionnais a un autre type d’activités tout aussi vitales aux yeux de ses compagnons de captivité… Quand il n’instruit pas le jeune déporté Jean Gaillard (mort en déportation) de la théorie des nombres, des mathématiques, de l’électricité ou de la chimie, il décrit chaque jour, pendant la durée de l’appel, qui peut durer quatre heures, un tableau différent du musée du Louvre, qu’il détaille avec un luxe de précisions extraordinaire, couleur par couleur, détail pictural par détail pictural… La Peinture à Dora est le bref récit de cette période.
Fondateur de l’Oulipo, théoricien des échecs, créateur des premières émissions scientifiques à la radio, ingénieur chimiste, auteur d’un des textes les plus courts et les plus frappants écrits sur la Deuxième Guerre mondiale – La Peinture à Dora –, éphémère compagnon de route du PC, résistant de la première heure arrêté et déporté par la Gestapo, François Le Lionnais (1901-1984) fut tout cela. Simultanément à la parution de la compilation d’archives hétéroclites ordonnée par Olivier Salon, Le Disparate, François Le Lionnais, Le nouvel Attila a décidé de republier un des rares textes autobiographiques laissés par Le Lionnais, un des textes les plus courts et les plus frappants écrits sur les camps : La Peinture à Dora.
Arrêté par la Gestapo et incarcéré au camp allemand de Dora en 1944, François Le Lionnais y continue les actes de résistance qu’il avait entrepris à Paris, notamment en sabotant le système de guidage de missiles V2 qu’il est chargé de construire. Mais Le Lionnais a un autre type d’activités tout aussi vitales aux yeux de ses compagnons de captivité… Quand il n’instruit pas le jeune déporté Jean Gaillard (mort en déportation) de la théorie des nombres, des mathématiques, de l’électricité ou de la chimie, il décrit chaque jour, pendant la durée de l’appel, qui peut durer quatre heures, un tableau différent du musée du Louvre, qu’il détaille avec un luxe de précisions extraordinaire, couleur par couleur, détail pictural par détail pictural… La Peinture à Dora est le bref récit de cette période.
Fondateur de l’Oulipo, théoricien des échecs, créateur des premières émissions scientifiques à la radio, ingénieur chimiste, auteur d’un des textes les plus courts et les plus frappants écrits sur la Deuxième Guerre mondiale – La Peinture à Dora –, éphémère compagnon de route du PC, résistant de la première heure arrêté et déporté par la Gestapo, François Le Lionnais (1901-1984) fut tout cela. Simultanément à la parution de la compilation d’archives hétéroclites ordonnée par Olivier Salon, Le Disparate, François Le Lionnais, Le nouvel Attila a décidé de republier un des rares textes autobiographiques laissés par Le Lionnais, un des textes les plus courts et les plus frappants écrits sur les camps : La Peinture à Dora.